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Elle ne peut pas s’arrêter, ohé, ohé, de danser, danser, danser au bal masquééé

Publié le 17 juillet 2013 par Elosya @elosyaviavia

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Hé bien voilà, samedi soir, j’ai fait un truc que j’ai jamais fait avant :

LE bal des pompiers.

Pour le 14 juillet, j’ai déjà assisté à des feux d’artifices, vu des spectacles gratuits dans les plus grands opéras parisiens et regardé le défilé de long en large et en travers à la télé.

Me restait plus que le bal. Et quel bal !

D’abord, on s’est calé une before-apéro chez Trois fois rien en compagnie de Miss Bavarde et de deux autres copines. On a dégusté de la bonne charcut, bu du vin blanc et du rosé de toute beauté, on a papoté aussi bien sûr. Un petit pipi réparateur et une dernière retouche rouge à lèvres plus tard, nous nous sommes mises en route.

Dans le métro, on rit, on se pose des questions sur la soirée : y aura t-il beaucoup de monde ? Est ce que la musique sera bonne ? Est ce que les pompiers seront beaux ?

On finit par arriver dans ce superbe lieu que sont  les Arènes de Lutèce.  Et là, nous avons une petite déconvenue puisque nous faisons la queue pendant 1h15 avant de pouvoir rentrer (ah ouais, nous étions motivées !)

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C’était. Vraiment. Dur. Mais on a fini par y arriver et j’ai trouvé la soirée top. Il y avait un super groupe de sique qui réinterprétait moults tubes avec brio. Des boissons bien fraîches. De l’espace (oui, oui, je vous promets j’avais l’impression de danser comme dans mon salon). La chaleur. Des gens joyeux et prompts à foutre l’ambiance.

Notre petit groupe n’était pas en reste puisque nous avons dansé jusqu’au bout de la nuit.

Et les pompiers me direz-vous ? Bah on a discuté avec plusieurs d’entre eux, on en a vu quelques-uns parlé avec de jolies jeunes filles aussi qui avait l’air toutes émoustillées. Mais on attendait surtout de les voir danser torse nus. Et effectivement, ils ont bougé leur body.

Et c’est tout. Pas de remake de The Full Monty. Nan (et pourtant on aurait VRAIMENT apprécié le spectacle)

En rentrant, je me sentais lessivée. J’avais mal aux pieds, aux jambes, je ne pensais qu’à une chose : mon lit. Je rêvais juste au moment où je poserais ma tête sur l’oreiller. Mais tout de même, j’avais encore l’énergie de la fête, le dynamisme d’avoir dansé plusieurs heures, d’avoir parlé, gigoté. Je me sentais tellement bien.

C’est marrant, me disais-je comme j’avais oublié que je pouvais m’amuser autant.


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