Quand j’ai voulu enregistrer le nouvel album de Rod Stewart dans la base de données où est consignée ma discothèque, j’ai encore eu un choc. Il y avait vingt ans que je n’avais pas acheté de disques de l’artiste, très exactement depuis Unplugged en 1993. Autant vous dire que je l’ai glissé dans la platine CD avec une pointe d’émotion inquiète.
J’ai rapidement été rassuré après plusieurs écoutes. Rod Stewart (68 ans) a fait des efforts pour tenter de revenir à sa propre musique, il participe à l’écriture de quasiment tous les morceaux de ce disques, exceptés les reprises (Picture In A Frame de Tom Waits et le Corrina, Corrina de Bo Chatman). Le CD existe en deux versions, la simple (12 titres) et celle avec 3 bonus, je conseille cette dernière car les morceaux supplémentaires sont à mon avis, parmi les meilleurs de l’album comme ce magnifique Love Has No Pride qui clôt l’opus.
La rondelle débute par l’excellent She Makes Me Happy, avec mandoline et Rod Stewart qui le clame « I’m a reborn man » ce qu’il confirme dans le morceau suivant, Can’t Stop Me Now, montrant qu’il a toujours l’envie de chanter envers et contre tout, « Born to sing, In a new world of rock’n roll ». Et nous on est partant, tiens !
Les titres s’enchainent sans être jamais d’un genre franchement marqués, il y a du folk-rock par-ci, un genre où il excelle, de la pop bien sûr, un semblant de celtique ailleurs mais aussi hélas, un poil de disco (ça se dit encore ?). Par contre la façon dont sont composées les chansons est du Rod Stewart pur jus, on retrouve ces passages où les instruments se taisent pour laisser le vocaliste sur le devant de la scène.
Au global ce Time se révèle un bon album de Rod Stewart, un artiste qui retrouve la bonne voie pour l’inspiration, car pour ce qui est de sa voix, elle est tout simplement magnifique encore, sans aucune trace des années écoulées. Le seul reproche que je puisse faire mais je crains qu’il n’en soit ainsi jusqu’à la fin, ce disque est trop produit et ces violons… Un violon d’accord, une section bonjour les dégâts.
Quand j’ai voulu enregistrer le nouvel album de Rod Stewart dans la base de données où est consignée ma discothèque, j’ai encore eu un choc. Il y avait vingt ans que je n’avais pas acheté de disques de l’artiste, très exactement depuis Unplugged en 1993. Autant vous dire que je l’ai glissé dans la platine CD avec une pointe d’émotion inquiète.
J’ai rapidement été rassuré après plusieurs écoutes. Rod Stewart (68 ans) a fait des efforts pour tenter de revenir à sa propre musique, il participe à l’écriture de quasiment tous les morceaux de ce disques, exceptés les reprises (Picture In A Frame de Tom Waits et le Corrina, Corrina de Bo Chatman). Le CD existe en deux versions, la simple (12 titres) et celle avec 3 bonus, je conseille cette dernière car les morceaux supplémentaires sont à mon avis, parmi les meilleurs de l’album comme ce magnifique Love Has No Pride qui clôt l’opus.
La rondelle débute par l’excellent She Makes Me Happy, avec mandoline et Rod Stewart qui le clame « I’m a reborn man » ce qu’il confirme dans le morceau suivant, Can’t Stop Me Now, montrant qu’il a toujours l’envie de chanter envers et contre tout, « Born to sing, In a new world of rock’n roll ». Et nous on est partant, tiens !
Les titres s’enchainent sans être jamais d’un genre franchement marqués, il y a du folk-rock par-ci, un genre où il excelle, de la pop bien sûr, un semblant de celtique ailleurs mais aussi hélas, un poil de disco (ça se dit encore ?). Par contre la façon dont sont composées les chansons est du Rod Stewart pur jus, on retrouve ces passages où les instruments se taisent pour laisser le vocaliste sur le devant de la scène.
Au global ce Time se révèle un bon album de Rod Stewart, un artiste qui retrouve la bonne voie pour l’inspiration, car pour ce qui est de sa voix, elle est tout simplement magnifique encore, sans aucune trace des années écoulées. Le seul reproche que je puisse faire mais je crains qu’il n’en soit ainsi jusqu’à la fin, ce disque est trop produit et ces violons… Un violon d’accord, une section bonjour les dégâts.