La salopette est un vêtement auquel j’ai succombé, un vêtement maudit, abhorré, décrié, longtemps qualifié d’impossible, impossible à arborer hors de nos travaux de peinture.
On lui trouvait tous les défauts. Inconfortable, grossissant, transformant nos fessiers rebondis en cul de babouin, nos rondeurs affriolantes en plat de limande. Mais j’ai saisi la preuve qu’il n’en est rien.
Ou pas
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