Pendant la campagne présidentielle, François Hollande avait promis, s'il était élu, de «reconnaître publiquement les responsabilités des gouvernements français dans l'abandon des harkis, le massacre de ceux restés en Algérie et les conditions d'accueil des familles transférées dans des camps en France».
Il avait dit en outre son intention « d'assurer aux harkis et à leurs descendants la reconnaissance de la République ».
Les associations représentant les harkis et leurs familles souhaitent connaître les suites qui seront données à ces annonces, notamment dans le cadre d'une loi de reconnaissance et de réparation des préjudices moraux et des spoliations matérielles.
Réponse à suivre !