- que lorsque 500 jours s’écoulent et qu’une chronique est publiée quotidiennement, le 500ème jour naît la 500ème chronique. Puisque 500, je vous le donne en mille, est la moitié de mille, si on me dit que j’ai mis dans le mille au moins une fois sur deux, j’hèle Emile et descend fêter ça !
- que lorsqu’un auteur de chronique adore les chiffres, et particulièrement le chiffre 5, il arbore un fier sourire le jour de sa 500ème chronique. C’est en quelque sorte sa fête nationale personnelle et individuelle. Et puisque 500, je vous le donne en mille, est la moitié de mille, si on me dit que j’ai mis dans le mille au moins une fois sur deux, j’hèle Emile et descend fêter ça !
- que lorsque la 500ème chronique arrive, son auteur pense aux 499 précédentes et se dit qu’elles n’auraient pas existé si elles n’avaient pas été lues, les unes après les autres. Alors, je remercie les yeux qui s’y sont posés, les doigts qui ont commenté, les sourires qui ont barré quelques visages traduits par quelques smileys évocateurs en espérant que nous continuerons de valser ensemble au travers des mots encore un bon moment. Et puisque 500, si on me dit, j’hèle Emile et descend fêter ça !
dimanche 14 juillet 2013