La plume alerte du plumitif Donzé Vincent, qui oeuvre (avec peine) pour le Matin ONLINE semble ne pas trop s’embarrasser des règles orthographiques.
Même des anciennes donc.
Ainsi en quelques signes couchés ici, notre cador aligne-t-il quand même une série impressionnante de bourdes.
A suivre au gré des envies :
Je me suis attaché (c’est une femme qui parle)
Les passages se sont succédés: le s final de trop qui tue et qui marque l’inculture
Le diagnostique : en lieu et place de c on met un que
Les doses de croquette humidifiée: une seule croquette?
Des partenaires de jeu plus robuste : sans s final, c’est tellement mieux
La source est ici: