Rizzoli & Isles // Saison 4. Episode 3. But I Am a Good Girl.
Ce que je trouve d'assez bon dans cette saison 4 de Rizzoli & Isles c'est le fait que l'on revient à l'esprit primaire de la série c'est à dire le duo Rizzoli et Isles. En
effet, j'avais trouvé que la série s'était en grande partie perdue dans des élucubrations pas très passionnantes lors de divers épisodes. Du coup, je suis ravi de voir que maintenant elle se
reprend en main. Je ne regrette pas d'avoir donné une troisième chance à la série (étant donné que commencer la saison 3 était déjà une seconde chance). Au fond, je crois que c'est uniquement
parce que je suis un grand fan d'Angie Harmon que je suis revenu. Cette actrice avait déjà réussi à me séduire dans Law & Order. Et son duo avec
Sasha Alexander est tellement fun. Le fait que la saison revienne justement aux chamailleries de meilleure amie qu'il y a entre les deux personnage me plait. Cela donne donc de
très bonnes scènes, assez cocasses tout au long de l'épisode. Le tout est tellement rythmé que finalement on ne perd pas de temps.
"But I Am a Good Girl" n'était pas ce que la saison 4 a fait de mieux pour le moment. En effet, l'introduction était assez médiocre. J'avais peur que l'on nous parle un peu trop
de religion et finalement la série parvient à éviter le gros piège et ne s'en sort pas trop mal. Les premiers doutes ont donc été balayés lors de la scène du baptême qui était assez drôle dans
son ensemble, surtout pour les commentaires aiguisés d'une impatiente Jane Rizzoli. Et puis Maura est toujours là pour garder son sang froid. J'aime bien également comment Jane parvient à
manipuler Tommy et Lydia. C'était une bonne idée qui va rapidement tourner an vinaigre mais l'on ne peut pas lui en vouloir d'avoir essayé. Colin Egglesfield est tout de même
plus sympathique dans The Client List pour des raisons d'utilisation du personnage que l'acteur incarne. Dans Rizzoli & Isles je suis estomaqué par le fait
qu'il ne sert pas à grand chose.
Note : 5/10. En bref, un épisode qui vaut pour la bonne dose de drama familial chez les Rizzoli.