Je l'avais dit pour Gosselin parce que l'idée parce que l'âge du metteur en scène.... parce que le théâtre se fait avec tout ce qu'il ramasse, du désespoir du temps.... et avec une troupe en qui on a confiance,
et Houellebecq est un poète, qui nous indique la sortie de secours.
http://www.nordeclair.fr/info-locale/les-particules-elementaires-seduisent-avignon-jna49b0n243693?xtor=RSS-2
FESTIVAL on n'arrête pas le théâtre 2 ème semaine c'est un sommet c'est le summum parce qu'il fait chaud, parce qu'Avignon, parce qu'on est définissable comme perdu perdant ou éphémère
c'est une pièce mise en scène par Sophie Morousi qui m'a happée compètement de dépression tellurique, -Nathalie pourquoi t'exaggère toujours ?
-Je n'exagère jamais, sa sensibilité la beauté l'exigence..., mais je ris fort et je pleure comme je pisse, et je déteste aussi de tous les pores de mon corps au point de me lever et de quitter la salle.
Désaxée ou misfit, inadaptée, je suis comme un vêtement qui ne va pas...
Mais c'est tellement drôle aussi de se prendre le miroir déformant de nos amours via nos petites chansonnettes comme les soit disant plus beaux airs, du coup j'ai pensé, là aussi, il va y avoir une standing ovation, et ça n'a pas loupé par contre j'étais à côté d'un ami, un grand ami qui lui était plus nuancé mais c'était bien le seul, les acteurs, les lumières, qu'est-ce qu'il te faut mon grand ami...
les 8, 9 et 10 juillet à 20h45
La nuit la vie est moins pirethéâtre et musique
de Benjamin Prioul
création de Aurélie Barrin, Joséphine Constantin, Julien Kosellek et Raphaël Rivoiremise en scène Sophie Mourousi
musiciens Romain Martin, Yuta Masuda, Cédric Soubiron, Jean Tomas Ward
travail musical Laura ClauzelPour parler d'amour, pour questionner l'amour, le jeune auteur convoque tout naturellement Juliette et son Roméo, mais aussi Dalida, Michèle Torr, Brel, Nietzsche, les boites de nuit, Brassens... Dans un débordement d'énergie et de musique, il interroge notre insatiable besoin de trouver l'amour.et vendredi j'irais là
les 11, 12 et 13 juillet à 19h30
Don Juan de Aporiacréation
création de Mathieu Mullier-Griffithssous le regard de Stéphane Auvray-Nauroy et Alex Singer
production : kafard filmsLe spectre n'a pas emporté Don Juan aux enfers. Il est vivant, terré dans le mythe et vibrant sous la peau. Il me chuchote des rapports à inventer entre les sexes. Je l'entends. La machine à désir, à répéter la nostalgie. La conscience du vide laissé. Don Juan m'a piégé. J'ai regardé en moi et j'y ai vu Elvire s'acharner avec lui sur le mouvement de l'amour.en construction parce que je ne peux pas rester ici avec vous à me refaire ma soirée....