Extraits de ce festival de propagande : "La droite veut utiliser Paris dans sa soif de pouvoir" ; "Il ne faut pas tout subordonner à la com'", etc ...
La transformation -ratée- de Paris en marchepied pour les élections présidentielles de Delanoë, ce n'était sans doute pas de la soif de pouvoir ! Qui a oublié le grotesque épisode de "l'Amour des Jeux" transformé en pré-candidature pour 2007 ?
Quant à la com', toutes les décisions municipales importantes depuis 2001 sont dépendantes de ce critère quasi-exclusif ...
La pique la plus vacharde a été réservée à NKM, "condescendante" et candidate "conservatrice" face à une Hidalgo "progressiste".
Questions simples et de bon coût : les frais de ces déjeuners de presse, réglés par le contribuable parisien, seront-ils intégrés à la campagne d'Hidalgo ? A-t-on le droit, en période électorale municipale déjà ouverte, d'utiliser ainsi les moyens de la mairie pour promouvoir une candidature officielle ? Le contribuable est bien descendu.
Le delphinat est décidément un mode de passation des pouvoirs qui se moque de la légalité républicaine !