Brésil - Espagne sera l'affiche de la finale de la Coupe des confédérations, dimanche. Au terme d’une partie où les Ibères ont souffert pendant une mi-temps, c’est aux tirs au but que les champions du monde ont écarté les Italiens (0-0, 7-6), jeudi à Fortaleza. Grâce à une dernière réalisation de Jesus Navas dans la séance finale, l’Espagne a obtenu sa place pour une finale de rêve : les champions du monde et d'Europe en titre contre le double tenant de la Coupe des confédérations. C'est Bonucci, auteur d'un septième tir au but dans les nuages, qui aura craqué au terme de 120 minutes très serrées et d'une séance de tirs parfaite de part et d'autre jusque là.Avant cela, les Transalpins avaient dominé le premier acte à l’image des occasions de Marchisio (19e) ou Gilardino (15e) mais Casillas, excellent dans le but, s’interposait devant Maggio (17e, 36e). LaSquadra Azzura ne le savait pas, mais elle avait alors laissé passer sa chance. Après une heure de jeu très tactique et sans occasion tranchante, les accélérations espagnoles sous l’impulsion de Jesus Navas (115e, 116e), n’auront cependant pas eu raison d’Italiens émoussés, qui s'en sont remis aux coup-francs de Pirlo, pour s’ouvrir le chemin de la finale. En vain. Comme en 2008 (quart de finale) et 2012 (finale) à l'Euro, l’Italie s’est inclinée face à l’Espagne. La boulimique équipe de Vicente Del Bosque contestera dimanche, au Brésil, l'un des rarissimes trophées qui n'a pas fait l'objet de sa moisson jusqu'ici.Source: eurosport
Brésil - Espagne sera l'affiche de la finale de la Coupe des confédérations, dimanche. Au terme d’une partie où les Ibères ont souffert pendant une mi-temps, c’est aux tirs au but que les champions du monde ont écarté les Italiens (0-0, 7-6), jeudi à Fortaleza. Grâce à une dernière réalisation de Jesus Navas dans la séance finale, l’Espagne a obtenu sa place pour une finale de rêve : les champions du monde et d'Europe en titre contre le double tenant de la Coupe des confédérations. C'est Bonucci, auteur d'un septième tir au but dans les nuages, qui aura craqué au terme de 120 minutes très serrées et d'une séance de tirs parfaite de part et d'autre jusque là.Avant cela, les Transalpins avaient dominé le premier acte à l’image des occasions de Marchisio (19e) ou Gilardino (15e) mais Casillas, excellent dans le but, s’interposait devant Maggio (17e, 36e). LaSquadra Azzura ne le savait pas, mais elle avait alors laissé passer sa chance. Après une heure de jeu très tactique et sans occasion tranchante, les accélérations espagnoles sous l’impulsion de Jesus Navas (115e, 116e), n’auront cependant pas eu raison d’Italiens émoussés, qui s'en sont remis aux coup-francs de Pirlo, pour s’ouvrir le chemin de la finale. En vain. Comme en 2008 (quart de finale) et 2012 (finale) à l'Euro, l’Italie s’est inclinée face à l’Espagne. La boulimique équipe de Vicente Del Bosque contestera dimanche, au Brésil, l'un des rarissimes trophées qui n'a pas fait l'objet de sa moisson jusqu'ici.Source: eurosport