Reprenons le récit des aventures de Nicolas 1er Sarkozy. On l’avait quelque peu délaissé après sa défaite aux présidentielles, défaite dont il ne se remet pas. Il est des candidats dont le seul objectif est d’être élu. Peu importe les moyens, peu importe les programmes et finalement peu importe les électeurs. Ce qu’on attend d’eux, c’est qu’ils prennent le « bon » bulletin et basta. Quand je dis peu importe les moyens je fais évidemment allusion aux turpitudes financières de Sarkozy. Le Conseil constitutionnel, ayant à examiner en appel les comptes de campagne du candidat UMP a estimé que le plafond légal avait été atteint et même dépassé ce qui entraine ipso facto son rejet. C’est d’autant moins surprenant que la commission spécialisée avait rendu le même verdict. Je sais bien que les Hortefeux, les Copé, et autres Pelletier vont défiler sur les plateaux de télé pour dénoncer l’acharnement anti-sarkozy et se plaindre d’une injustice politique. En réalité, ils connaissaient les risques d’invalidation des comptes depuis le départ. Depuis le jour où Sarkozy a décidé de mélanger les rôles de président et de candidat pensant dominer de la tête et des épaules celui qu’il a surnommé « le petit gros ridicule. » Franchement, quand on regarde Sarkozy de près et même de loin, est-il le mieux placé pour moquer la silhouette de François Hollande. Que Carla compare ce dernier à un pingouin, passe encore, c’est une artiste ( !!!) mais que son mari imagine faire un bon mot en l’imitant, il s’abaisse et se ridiculise. Plus intéressantes vont être les décisions judiciaires dans les affaires Tapie, Bettencourt, l’affaire du financement de la campagne de Balladur, l’affaire des sondages de l’Elysée, etc. etc. n’en jetez plus la cour est pleine. Et cela ne sent pas bon.
Reprenons le récit des aventures de Nicolas 1er Sarkozy. On l’avait quelque peu délaissé après sa défaite aux présidentielles, défaite dont il ne se remet pas. Il est des candidats dont le seul objectif est d’être élu. Peu importe les moyens, peu importe les programmes et finalement peu importe les électeurs. Ce qu’on attend d’eux, c’est qu’ils prennent le « bon » bulletin et basta. Quand je dis peu importe les moyens je fais évidemment allusion aux turpitudes financières de Sarkozy. Le Conseil constitutionnel, ayant à examiner en appel les comptes de campagne du candidat UMP a estimé que le plafond légal avait été atteint et même dépassé ce qui entraine ipso facto son rejet. C’est d’autant moins surprenant que la commission spécialisée avait rendu le même verdict. Je sais bien que les Hortefeux, les Copé, et autres Pelletier vont défiler sur les plateaux de télé pour dénoncer l’acharnement anti-sarkozy et se plaindre d’une injustice politique. En réalité, ils connaissaient les risques d’invalidation des comptes depuis le départ. Depuis le jour où Sarkozy a décidé de mélanger les rôles de président et de candidat pensant dominer de la tête et des épaules celui qu’il a surnommé « le petit gros ridicule. » Franchement, quand on regarde Sarkozy de près et même de loin, est-il le mieux placé pour moquer la silhouette de François Hollande. Que Carla compare ce dernier à un pingouin, passe encore, c’est une artiste ( !!!) mais que son mari imagine faire un bon mot en l’imitant, il s’abaisse et se ridiculise. Plus intéressantes vont être les décisions judiciaires dans les affaires Tapie, Bettencourt, l’affaire du financement de la campagne de Balladur, l’affaire des sondages de l’Elysée, etc. etc. n’en jetez plus la cour est pleine. Et cela ne sent pas bon.