Alors que Don Mattrick a quitté ses fonctions chez Microsoft Xbox, il devrait avoir un confortable salaire chez Zynga, comme le révèle Reuters. Il prendra son nouveau poste chez Zynga le 8 juillet prochain.
Voici en effet les détails concernant la rémunération de Don Mattrick pour son nouveau poste de PDG chez Zynga. C’est via un document envoyé par l’éditeur de jeux sociaux à la SEC (Securities and Exchange Commission), que l’on connaît la rémunération de Don Mattrick, le nouveau PDG de l'éditeur.
Il devrait toucher environ 19,3 millions de dollars pour sa première année à la tête de Zynga. Mais ce n’est pas tout, loin s’en faut. En effet, si cette somme ne lui sera pas reversée en « cash », elle comprend tout de même son salaire de base, soit million de dollars par an, mais également une prime de 5 millions de dollars versée à son arrivée, ainsi qu'un bonus qui devrait s'élever à deux millions de dollars.
Attendez, ce n’est pas tout. Comme si cela ne suffisait pas, Mattrick recevra sur trois ans l’équivalent de 9 millions d'actions Zynga (8 928 571 pour être précis), dont la valeur est estimée à 25 millions de dollars au cours du jour, - à la date du 26 juin 2013. Le dirigeant touchera en effet 45,32 % de ces actions à la fin de la première année, pour un total de 11,3 millions de dollars.
Vous l’avez compris : Mattrick peut devenir très riche s’il parvient à faire remonter le cours de l’action de la société. Et ça commence plutôt bien, puisque le 26 juin dernier, l'action de l'éditeur se négociait à 2,80 dollars… puis à 3,42 dollars à l’annonce de son arrivée dans l’entreprise.
Soit un bond de 22 % en moins d'une semaine. Son pack d’actions vaut donc déjà 30,5 millions de dollars. Mais on connaît la bourse... Tout peut arriver. Dans les deux sens. Il « suffira » alors à Mattrick de continuer à faire grossir l’action et à prendre les bonnes décisions, pour qu’il récupère un joli paquet de billets verts d’ici trois années.
Comme en mars 2012, où ele avait atteint son plus haut, à 15 dollars. Faites le calcul.
Via Reuters