« Les crêpes, c’était une fête familiale célébrée le soir ; durant la journée, la maîtresse de maison avait trop à faire. Et puis une petite festivité nocturne s’avérait toujours la bienvenue : les soirées d’hiver étaient longues avant l’arrivée de la télévision. » Alain Paraillous La vie religieuse des campagnes d’autrefois
Mardi sur France2 je ne rate pas le documentaire La légende du Tour de France. A l’occasion des cent ans de la Grande Boucle, rappelle des riches heures de cet évènement cycliste. Il y a quelques années, le dopage était un mot tabou, désormais on n’hésite moins à le lâcher et le documentaire ne nous a pas laissé d’illusions, tous y piquent (sic !) sauf Poulidor ! En voulant revenir sur un siècle d’histoire, des impasses étaient obligatoires mais ne pas citer Federico Bahamontes (l’Aigle de Tolède) ou Joop Zoetemelk m’a semblé une erreur.
Mercredi sur TMC, football avec la première demi-finale de la Coupe des confédérations Brésil/Uruguay. La Céleste a vraiment bien joué le coup tactiquement parlant, ce dont les futurs adversaires du Brésil pourront s’inspirer. Les guêpes jaunes engluées dans le papier tue-mouches uruguayen ne trouvaient plus leurs marques, paralysées et sans jeu, ce qui dégrada un peu le spectacle auquel on s’attendait. Mais il était écrit que ce ne serait pas encore ce soir que les Brésiliens seraient battus chez eux (penalty raté de l’Uruguay), score définitif 2-1 pour le Brésil et place assurée pour la finale.
Jeudi, même heure et même chaîne avec Espagne/Italie. Si la première période est vivante, les deux équipes rivalisant de prouesses techniques et d’actions dangereuses, après la pause le jeu se tasse, les Espagnols sont moins précis, bien contenus par les Italiens. Si les transalpins ont les occasions les plus franches, le score ne se débloque pas et la partie se prolongera au-delà du raisonnable, jusqu’aux tirs au but. In extremis, l’Espagne se qualifie pour la finale (7-6), une issue particulièrement dure pour les Italiens qui ont laissé passer leur chance en première mi-temps.
Vendredi sur ARTE rediffusion d’un téléfilm de Pierre Boutron (2010) Vivace que je n’avais pas vu en
Dimanche je commence par le Tour de France sur France2, comme hier samedi, pour revoir la Corse. Cette centième édition semble prête à nous en faire voir de toutes les couleurs. Samedi, un car coincé sous la bannière d’arrivée n’est dégagé que dans les quelques dernières minutes avant l’arrivée des coureurs ; aujourd’hui, ce sont les commentateurs télé qui durant les derniers kilomètres de l’étape nous annoncent un vainqueur Espagnol, information démentie une fois la ligne franchie, par l’organisation du Tour, annonçant un Belge ! Les journalistes vont devoir réviser leurs fiches, dare-dare.
Je zappe ensuite sur TMC pour la petite finale donnant accès à la troisième place de la Coupe des confédérations en football, Uruguay/Italie. Je me contenterai de ce match, car la finale plus qu’alléchante entre le Brésil et l’Espagne, mais retransmise à partir de minuit, est hors de mes forces. Pour l’instant nous avons droit à deux équipes éprouvées par la fatigue et la chaleur, obligées de jouer les prolongations après le 2-2 à la fin du temps réglementaire. Ce qui n’arrange pas mes affaires, car au même instant débute sur France3 la finale de l’Euro de basket-ball féminin avec France/Espagne. Une fois de plus la zappette va devoir œuvrer avec talent. Finalement l’Italie s’impose aux tirs au but et rafle la troisième place de l’épreuve et nos Bleues s’inclinent 70-69 à l’issue d’un final haletant. Bravo les filles quand même.
La soirée se termine sur TF1 avec le film de Fred Cavayé (2010) A bout portant. Un polar de facture classique avec Gilles Lellouche, Gérard Lanvin et Roschdy Zem. Musclé et efficace, sans surprise mais réussi. Au bord de l’overdose de petit écran, il est temps pour moi d’aller me coucher.
Grosse semaine de télé, principalement occupée par des retransmissions sportives. Des activités de plein air quand revient l’été, quoi de plus normal me direz-vous, sauf que moi je les pratique du fond de mon canapé. Certainement ce qu’on appelle, la réalité virtuelle. Bigre, je me découvre soudain un trait de caractère vachement moderne. Pour une fois.
« Les crêpes, c’était une fête familiale célébrée le soir ; durant la journée, la maîtresse de maison avait trop à faire. Et puis une petite festivité nocturne s’avérait toujours la bienvenue : les soirées d’hiver étaient longues avant l’arrivée de la télévision. » Alain Paraillous La vie religieuse des campagnes d’autrefois
Mardi sur France2 je ne rate pas le documentaire La légende du Tour de France. A l’occasion des cent ans de la Grande Boucle, rappelle des riches heures de cet évènement cycliste. Il y a quelques années, le dopage était un mot tabou, désormais on n’hésite moins à le lâcher et le documentaire ne nous a pas laissé d’illusions, tous y piquent (sic !) sauf Poulidor ! En voulant revenir sur un siècle d’histoire, des impasses étaient obligatoires mais ne pas citer Federico Bahamontes (l’Aigle de Tolède) ou Joop Zoetemelk m’a semblé une erreur.
Mercredi sur TMC, football avec la première demi-finale de la Coupe des confédérations Brésil/Uruguay. La Céleste a vraiment bien joué le coup tactiquement parlant, ce dont les futurs adversaires du Brésil pourront s’inspirer. Les guêpes jaunes engluées dans le papier tue-mouches uruguayen ne trouvaient plus leurs marques, paralysées et sans jeu, ce qui dégrada un peu le spectacle auquel on s’attendait. Mais il était écrit que ce ne serait pas encore ce soir que les Brésiliens seraient battus chez eux (penalty raté de l’Uruguay), score définitif 2-1 pour le Brésil et place assurée pour la finale.
Jeudi, même heure et même chaîne avec Espagne/Italie. Si la première période est vivante, les deux équipes rivalisant de prouesses techniques et d’actions dangereuses, après la pause le jeu se tasse, les Espagnols sont moins précis, bien contenus par les Italiens. Si les transalpins ont les occasions les plus franches, le score ne se débloque pas et la partie se prolongera au-delà du raisonnable, jusqu’aux tirs au but. In extremis, l’Espagne se qualifie pour la finale (7-6), une issue particulièrement dure pour les Italiens qui ont laissé passer leur chance en première mi-temps.
Vendredi sur ARTE rediffusion d’un téléfilm de Pierre Boutron (2010) Vivace que je n’avais pas vu en
Dimanche je commence par le Tour de France sur France2, comme hier samedi, pour revoir la Corse. Cette centième édition semble prête à nous en faire voir de toutes les couleurs. Samedi, un car coincé sous la bannière d’arrivée n’est dégagé que dans les quelques dernières minutes avant l’arrivée des coureurs ; aujourd’hui, ce sont les commentateurs télé qui durant les derniers kilomètres de l’étape nous annoncent un vainqueur Espagnol, information démentie une fois la ligne franchie, par l’organisation du Tour, annonçant un Belge ! Les journalistes vont devoir réviser leurs fiches, dare-dare.
Je zappe ensuite sur TMC pour la petite finale donnant accès à la troisième place de la Coupe des confédérations en football, Uruguay/Italie. Je me contenterai de ce match, car la finale plus qu’alléchante entre le Brésil et l’Espagne, mais retransmise à partir de minuit, est hors de mes forces. Pour l’instant nous avons droit à deux équipes éprouvées par la fatigue et la chaleur, obligées de jouer les prolongations après le 2-2 à la fin du temps réglementaire. Ce qui n’arrange pas mes affaires, car au même instant débute sur France3 la finale de l’Euro de basket-ball féminin avec France/Espagne. Une fois de plus la zappette va devoir œuvrer avec talent. Finalement l’Italie s’impose aux tirs au but et rafle la troisième place de l’épreuve et nos Bleues s’inclinent 70-69 à l’issue d’un final haletant. Bravo les filles quand même.
La soirée se termine sur TF1 avec le film de Fred Cavayé (2010) A bout portant. Un polar de facture classique avec Gilles Lellouche, Gérard Lanvin et Roschdy Zem. Musclé et efficace, sans surprise mais réussi. Au bord de l’overdose de petit écran, il est temps pour moi d’aller me coucher.
Grosse semaine de télé, principalement occupée par des retransmissions sportives. Des activités de plein air quand revient l’été, quoi de plus normal me direz-vous, sauf que moi je les pratique du fond de mon canapé. Certainement ce qu’on appelle, la réalité virtuelle. Bigre, je me découvre soudain un trait de caractère vachement moderne. Pour une fois.