Aujourd’hui on part outre manche à la découverte de Foals, le groupe britannique qui nous dévoilait il y a quelques mois leur très bon album «Holy Fire». En aval de ce troisième opus, le groupe originaire d’Oxford a fait travailler sur leur titre phare « Late Night » deux des producteurs européens les plus en vogue du moment. On retrouve ainsi, leur compatriote et jeune prodige Koreless qui nous propose un titre subtilement personnalisé ainsi qu’une interprétation club du big boss de la team Diynamic : Solomun
Le titre initialement excellent se voit subjugué et conditionné pour de multiples occasions entre session introspective et clubbing intempestif, vous pourrez ainsi entendre résonner le sublime organe de Yannis Philippakis en toutes circonstances. La pop semble être à son apogée sur ce genre de sortie, on est séduit mais qui ne le serait pas…
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Today we take hold of a recent discovery from the Foals, a British rock band who came back on the map just a few months ago with their brilliant and most recent album « Holy Fire ». For their third studio album, the Oxford-natives cease fire with the flagship title « Late Night » created with two European producers who are quite in vogue at the moment. We also find a rendition by their compatriot and the young prodigy Koreless, who subtly personalizes the title, as well as a club interpretation by the heavy hitter from the Diynamic team : Solomun.
The excellent title has subjugated its use for multiple occasions, whether a session of introspection or some untimely clubbing, regardless of the situation, the sublime vocals of Yannis Phillippakis will lure you in. This pop sound is seemingly their prime moment since past releases, let the seduction undertake.