Ce que l’on juge requiert le meilleur de notre être,
La plus noble de nos certitudes,
Les mots de notre vérité,notre entière sincérité,
Nous n’avons le droit de nous tromper,
Car combien pourrions-nous devenir coupables,
Porteur d’un vil jugement annonce les tourments de la conscience,
L’amour,grand juge en notre coeur,
Emplit alors l’existence de doutes pesants,
Tortionnaires du plaisir de vivre,
D’un bonheur,à pas lents,s’évanouissant,
La vérité ainsi réclame son dû,
Oui,ce que l’on juge doit avoir le sceau de l’amour.