Deux semaines à Toulouse, avant d’attaquer la dernière, et l’appareil photo qui reste dans le sac, ou qui sort rarement le bout de son objectif.
La Garonne est grosse encore malgré les eaux qu’elle a perdues sur son passage ravageur, son lit défait est à peine contenu entre des quais oubliés.
J’ai à peine le temps, entre deux gouttes, de revoir le quartier dans lequel je travaille, avec sa rue étroite que les graffeurs envahissent un peu plus chaque année. Ici le facteur même stagiaire ou débutant distribue sans trop de mal son courrier… mais revient la pluie, abritons-nous quelques minutes…