Il y a quelques temps, j’écoutais une discussion entre un
universitaire américain qui a publié un ouvrage sur les grandes écoles
françaises, et un professeur d’université, académicien. J’en ai retenu que ce qui faisait la force des grandes
écoles était les classes préparatoires. Et que les premières années
universitaires américaines avaient pour but d’être des classes préparatoires… C’est-à-dire
qu’elles apportent une méthode de travail à celui qui arrive dans l’enseignement
supérieur.
Et si c’était, avant tout, ce qui manquait à nos universités ?