La course déguisée a le vent en poupe ! Voici quelques points de repère pour vous grimer sans souci lors de vos prochains exploits sportifs.
Le déguisement historique
- Marie-Antoinette ? Vous cherchez vraiment à vous mettre des bâtons dans les roues ! Règle d’or n°1 : on évite le XVIIIème siècle.
- Validé, le déguisement préhistorique léger, genre peau de bête synthétique et visage noirci. Le gourdin ? Il reste à la grotte. L’empereur romain ou le lutteur grec sont aussi des idées plutôt adaptées, à condition que la toge se cantonne au-dessus du genou, sans quoi, vous finirez dévoré par les lions du peloton.
Le déguisement interdit
- Maître-chien : oubliez ! Animaux interdits sur les parcours + course en rangers = des ampoules pendant 3 semaines
- Champignon : une course à cloche-pied ? Vous êtes maso…
- Figure biblique : blasphème ! Le chemin de croix ne comporte pas 42 stations …
- Masque à poser sur le visage : outre le fait d’être très dangereux (orifices des yeux rarement bien positionnés), il entrave sévèrement votre respiration
Le déguisement pratique
- Un t-shirt à rayures ? : Charly de « Où est Charly ? », marin ou bagnard
- Diabolique : t-shirt rouge, short noir, petite cape en satin et des cornes de Belzébuth
- Fonctionnaire : casquette de contrôleur SNCF ou képi assorti d’un polo bleu ciel
- Coureur 70′s : 100% vintage, exhumez l’équipement de votre adolescence ou de votre père (cf. le look de Dominique Chauvelier dans le n° de novembre), succès garanti auprès des vétérans comme des plus jeunes générations
- Sportif : tutu de danseuse, tenue de basketteur ou plus minimaliste, style Alain Bernard !