Le week-end a été rude pour nos rugbymen envoyés dans l’hémisphère Sud. Après une défaite relativement honorable lors du premier test match contre la Nouvelle Zélande, le second ressemble comme deux gouttes d’eau à une branlée, les Français s’inclinant 30-0 devant les All-Blacks ! Une tannée sans appel.
En sport, la défaite est toujours dure à supporter pour ses acteurs mais elle est sensée permettre de rebondir dans l’avenir. Pour cela, deux facteurs sont impératifs, primo faire un bilan ou constat objectif de ses faiblesses et secundo, se donner les moyens pour les corriger. C’est là que le bât blesse et fait craindre pour le futur.
Les commentaires des joueurs et de l’entraineur, Philippe Saint-André, entendus à la télévision, étaient d’une telle niaiserie ou banalité, une litanie d’explications déjà répétées mille fois – en fait à chaque fois que nous sommes battus – qu’on a l’impression qu’ils ne comprennent rien à ce qui leur est arrivé. Or, s’ils n’ont rien compris, il en découle ipso facto qu’aucune amélioration du niveau de notre XV ne peut être envisagé à moyen terme, voire le long.
Dans un billet ancien j’avais mis en parallèle, le rendement de l’équipe de France de football et le moral de la nation, tous deux au ras des pâquerettes. Aujourd’hui, c’est le rugby que nous pouvons prendre en comparaison tout aussi peu flatteuse, mais en allant plus loin encore. Notre rugby national va très mal, il suffit de voir ses résultats lors du Tournoi des VI Nations. A la tête de l’équipe, Philippe Saint-André en sélectionneur. Légèrement enrobé, un débit vocal saccadé à la recherche de ses mots, un ton un peu mou, c’est ce qu’on peu constater quand il est interrogé à la télé. Ca ne vous rappelle pas quelqu’un ?
Moi j’y vois comme une déclinaison de notre président, l’un comme l’autre menant leur barque de la même manière. Les ministres ou les joueurs semblent inamovibles, pas question d’envisager un remaniement d’ampleur ou d’envisager un coup de gueule quand l’un ou l’autre fait une mauvaise prestation. Une ligne d’action pas très claire et qui ne donne pas de résultats probants dans l’immédiat.
François Hollande et Philippe Saint-André ont des rondeurs en commun, mais pour autant ça ne tourne pas très rond dans leurs équipes.
Le week-end a été rude pour nos rugbymen envoyés dans l’hémisphère Sud. Après une défaite relativement honorable lors du premier test match contre la Nouvelle Zélande, le second ressemble comme deux gouttes d’eau à une branlée, les Français s’inclinant 30-0 devant les All-Blacks ! Une tannée sans appel.
En sport, la défaite est toujours dure à supporter pour ses acteurs mais elle est sensée permettre de rebondir dans l’avenir. Pour cela, deux facteurs sont impératifs, primo faire un bilan ou constat objectif de ses faiblesses et secundo, se donner les moyens pour les corriger. C’est là que le bât blesse et fait craindre pour le futur.
Les commentaires des joueurs et de l’entraineur, Philippe Saint-André, entendus à la télévision, étaient d’une telle niaiserie ou banalité, une litanie d’explications déjà répétées mille fois – en fait à chaque fois que nous sommes battus – qu’on a l’impression qu’ils ne comprennent rien à ce qui leur est arrivé. Or, s’ils n’ont rien compris, il en découle ipso facto qu’aucune amélioration du niveau de notre XV ne peut être envisagé à moyen terme, voire le long.
Dans un billet ancien j’avais mis en parallèle, le rendement de l’équipe de France de football et le moral de la nation, tous deux au ras des pâquerettes. Aujourd’hui, c’est le rugby que nous pouvons prendre en comparaison tout aussi peu flatteuse, mais en allant plus loin encore. Notre rugby national va très mal, il suffit de voir ses résultats lors du Tournoi des VI Nations. A la tête de l’équipe, Philippe Saint-André en sélectionneur. Légèrement enrobé, un débit vocal saccadé à la recherche de ses mots, un ton un peu mou, c’est ce qu’on peu constater quand il est interrogé à la télé. Ca ne vous rappelle pas quelqu’un ?
Moi j’y vois comme une déclinaison de notre président, l’un comme l’autre menant leur barque de la même manière. Les ministres ou les joueurs semblent inamovibles, pas question d’envisager un remaniement d’ampleur ou d’envisager un coup de gueule quand l’un ou l’autre fait une mauvaise prestation. Une ligne d’action pas très claire et qui ne donne pas de résultats probants dans l’immédiat.
François Hollande et Philippe Saint-André ont des rondeurs en commun, mais pour autant ça ne tourne pas très rond dans leurs équipes.