Nous voici encore une fois sur la route des vacances. Cette année nous allons explorer les chemins d'Italie de Rome à Florence en passant par Pise, pour ensuite monter jusqu'à Venise sur la mer Adriatique. Nous redescendrons sur Sienne, San Marino, petit pays indépendant dans l'enclave italienne. Un peu comme Monaco. Parfaite pour les évasions fiscales. Nous ferons un arrêt à Assise et se sera un retour à Rome pour une nuit. Le lendemain nous nous dirigerons vers Naples, Sorrento ou nous passerons deux nuits et l'île de Capri et se sera un retour à Rome pour le départ vers Montréal.Comme vous avez pu le constater, je n'ai pu ouvrir mon blogue pendant le voyage lui-même. Première cause, le temps. Nous avions un itinéraire corsé et après les soupers souvent très arrosé, et là je ne parle pas de pluie, il était trop tard pour écrire. Deuxième raison l'autobus. Avez-vous déjà essayez d'écrire dans un autobus, bonne chance. Et enfin la troisième raison, l'internet en Italie ça vaut pas d'la m... mozzarella.Le départ fut très relaxe, au point ou lorsque que nous sommes monté à bord de l'avion la majorité des passagers étaient déjà à leur place. J'étais certain que le départ était à 23h30 or il était à 22h45. Je venais de comprendre pourquoi il y avait si peu de monde dans le salon d'attente. Comme à l'habitude je n'ais pas dormis. Je me suis donc amusé à deviner parmi les passagers, ceux qui passeraient deux semaines avec nous. Il faut vous dire que j'appréhendais ce premier voyage en groupe. Je craignais les courses effrénées sur les routes italiennes entouré de gens mal commode, chiquant la guenille à la moindre occasion. Pestant contre un chauffeur roulant trop vite. Contre une chambre trop chaude ou trop froide ou contre de la nourriture un peu trop épicée ou pas assez. Des voyageurs en colère par ce qu'il n'y a pas de Jean Coutu et qu'ils ne peuvent pas "pogner" TVA pour écouter Denis Lévesque. Bref, le genre de personne que tu as envi d'accrocher à l'arrière de l'autobus pour les faire sécher. Hé bien, savez-vous quoi? Non, des gens fort sympathiques et d'agréable compagnie. Des gens drôles, intéressés, intéressants et de tous âges. Seule déception, ma fille qui s'était occupé de nos réservations, m'avais promis un guide style Monica Bellucci. Hé bien, savez-vous quoi? Non, notre guide était plutôt du style grand, mince avec une petite barbichette et s'appelait Frédéric Simard un bon québécois vivant en Italie. Mais à sa décharge, j'avoue qu'il était drôle, intéressé et intéressant, tout comme son groupe. Il connaissait bien son sujet et savait comment le transmettre.C'est de cette façon que notre voyage a commencé. À l'exception d'un peu de pluie à Sienne et à Florence, nous avons eu un temps fort agréable entre 26 et 34 degrés tous les jours. Alors, si ça vous tente, vous pourrez refaire ce voyage sur ce blogue. Je vais tenté de vous raconter tout, un jour à la fois accompagné d'un diaporama de mes plus intéressantes photos. Ciao!