Un entre-deux balades, alors que la ville semble reposer, à l’heure de la sieste, prélude à l’effervescence apéritive, un passage épistolaire et furtif, une carte postale de ma ville écrasée par le soleil
Ma ville m’a Marseille qui a retrouvé ses couleurs méditerranéennes, ma ville aux charmes qu’elle a appris à dissimuler, à ceux qui ne savent pas voir, pas lever les yeux, pas s’arrêter.
Marseille, ma cagoule, l’aguicheuse, l’excessive, qui ne se donne qu’à ceux qui savent la mériter.
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