La semaine a débuté en fanfare avec la petite musique des biftons froissés dans des enveloppes qu’on se glisse sous la table. Non pas la table de l’Onc’ Picsou mais celle de Claude Guéant, un parent très certainement. Le versement à Claude Guéant, chef du cabinet du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, de «primes déguisées» de 10 000 euros par mois entre mai 2002 et l'été 2004, financé par les frais d'enquête a choqué une grande majorité de policiers, d’après la presse. Les policiers non ripoux bien entendu.
Au départ j’ai pensé à une bonne nouvelle quand aux infos j’ai appris qu’il y aurait moins – voire pas – de vols, mardi et mercredi. Las, Manuel Valls et sa police n’y sont pour rien et pour cause, puisque se sont les aiguilleurs du ciel qui en portent la responsabilité.
Les tours de passe-passe se succèdent, mystifiant les consommateurs qui n’en croient pas leurs yeux. Je ne reviens pas sur le cheval dans les lasagnes à la place du bœuf, aujourd’hui ce sont des somnifères dans des boîtes de diurétiques ! La prestidigitation repousse chaque jour les limites de l’extraordinaire, mais attention, jeu de mains jeu de vilains !
Mercredi, nous avons appris que le gouvernement grec avait brusquement arrêté la veille au soir, les émissions de ses trois chaînes de télévision publiques et des radios. Vous vous souvenez, chez nous, de la fin annoncée et programmée de la « 5 » qui avait créé un grand émoi chez les téléspectateurs et animateurs. Imaginez que ce soir, France 2, 3, 4, 5 et O s’arrêtent d’un seul coup, écran noir. Fini le petit Pujadas, terminé Thalassa, plus de Silence ça pousse… Hein ? Qui a dit enfin ?
Autre gros brouhaha cette semaine, Stéphane Richard PDG d’Orange est mis en examen pour « escroquerie en bande organisée » dans ce qu’on résumera comme étant « l’affaire Tapie ». Là encore Claude Guéant se retrouve dans la boucle et qui dit l’un, dit l’autre, Nicolas Sarkozy n’est pas loin. Le tandem maléfique n’en finit pas de faire parler de lui. L’étau se resserre autour du petit et comme son ex-bras droit n’a pas beaucoup d’amis dans son camp politique, un ancien ministre peut déclarer sous couvert d’anonymat, « Celui qui a été l’homme fort du système Sarkozy pendant cinq ans devient le maillon faible » (Le Monde 14/06/2013).
Tout semble s’écrouler chaque jour un peu plus d’avantage, économie, politique, vie sociale, comme dans ces documentaires filmés aux Pôles où des pans énormes de glace s’effondrent dans la mer, réduisant la taille de la banquise à des glaçons dans un verre d’eau. Mais ne venez pas me dire que c’est la faute au réchauffement climatique, cette excuse a déjà trop servi !
La semaine a débuté en fanfare avec la petite musique des biftons froissés dans des enveloppes qu’on se glisse sous la table. Non pas la table de l’Onc’ Picsou mais celle de Claude Guéant, un parent très certainement. Le versement à Claude Guéant, chef du cabinet du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, de «primes déguisées» de 10 000 euros par mois entre mai 2002 et l'été 2004, financé par les frais d'enquête a choqué une grande majorité de policiers, d’après la presse. Les policiers non ripoux bien entendu.
Au départ j’ai pensé à une bonne nouvelle quand aux infos j’ai appris qu’il y aurait moins – voire pas – de vols, mardi et mercredi. Las, Manuel Valls et sa police n’y sont pour rien et pour cause, puisque se sont les aiguilleurs du ciel qui en portent la responsabilité.
Les tours de passe-passe se succèdent, mystifiant les consommateurs qui n’en croient pas leurs yeux. Je ne reviens pas sur le cheval dans les lasagnes à la place du bœuf, aujourd’hui ce sont des somnifères dans des boîtes de diurétiques ! La prestidigitation repousse chaque jour les limites de l’extraordinaire, mais attention, jeu de mains jeu de vilains !
Mercredi, nous avons appris que le gouvernement grec avait brusquement arrêté la veille au soir, les émissions de ses trois chaînes de télévision publiques et des radios. Vous vous souvenez, chez nous, de la fin annoncée et programmée de la « 5 » qui avait créé un grand émoi chez les téléspectateurs et animateurs. Imaginez que ce soir, France 2, 3, 4, 5 et O s’arrêtent d’un seul coup, écran noir. Fini le petit Pujadas, terminé Thalassa, plus de Silence ça pousse… Hein ? Qui a dit enfin ?
Autre gros brouhaha cette semaine, Stéphane Richard PDG d’Orange est mis en examen pour « escroquerie en bande organisée » dans ce qu’on résumera comme étant « l’affaire Tapie ». Là encore Claude Guéant se retrouve dans la boucle et qui dit l’un, dit l’autre, Nicolas Sarkozy n’est pas loin. Le tandem maléfique n’en finit pas de faire parler de lui. L’étau se resserre autour du petit et comme son ex-bras droit n’a pas beaucoup d’amis dans son camp politique, un ancien ministre peut déclarer sous couvert d’anonymat, « Celui qui a été l’homme fort du système Sarkozy pendant cinq ans devient le maillon faible » (Le Monde 14/06/2013).
Tout semble s’écrouler chaque jour un peu plus d’avantage, économie, politique, vie sociale, comme dans ces documentaires filmés aux Pôles où des pans énormes de glace s’effondrent dans la mer, réduisant la taille de la banquise à des glaçons dans un verre d’eau. Mais ne venez pas me dire que c’est la faute au réchauffement climatique, cette excuse a déjà trop servi !