Recueillie par ses grands-parents, Nini est une jeune orpheline qui possède une maîtrise innée des arts martiaux. Toujours prête à s’amuser, elle est bien décidée à participer au grand tournoi organisé tous les dix ans par le monastère de Inu. Avec Kato, son ami d’enfance, ils découvrent un complot visant le maître des lieux ainsi qu’un terrible secret… Un secret lié à une mystérieuse secte et à la disparition de la mère de Nini dix ans auparavant.
Arnaud Armant, pouvez-vous nous présenter Nini ?
Nini, orpheline, experte en arts martiaux et éprise de liberté, est à la recherche de sa mère. Son meilleur ami, Kato, est un jeune garçon recueilli par le vieux maître du monastère de Inu. Ensemble, ils affronteront les périls de l’Empire ; Kato pour devenir le meilleur des duellistes de sabre, et Nini pour retrouver sa mère. Quel est le monde, l’univers de Nini ?
L’anthropomorphisme a donné naissance au monde de Nini, un monde fantastique peuplé de samouraïs, de clans rivaux – certains fidèles à l’empereur, d’autres prêts à le renverser – ou encore d’assassins se vendant au plus offrant et n’ayant qu’une notion superficielle de l’honneur. Il existe aussi de nombreux dangers rôdant aux confins des “montagnes du levant” ou bien sur les mystérieux territoires des barbares Jin-Khans, au-delà de la Grande Muraille du Nord, ainsi que la terrible secte d’assassins du Bambou d’Argent sur les traces de Nini. Que réservez-vous pour la suite ?
C’est une quête initiatique, donc encore plus d’intrigues, de trahisons, de révélations… Voilà ce que vivra Nini, pour pouvoir devenir ellemême et cesser de courir après ses chimères.
L'auteur: Fafah Togora
Durant ses années d’études aux Gobelins Fafah Togora développe le personnage de Nini, mais il ne nourrit pas encore le projet d’en réaliser une bande dessinée. C’est après quelques années passées dans l’animation qu’il est contacté par Arnaud Armant, qui lui propose d’en faire une série de bande dessinée.
Côté influences, fan ultime de Gunnm, Fafah prône l’univers manga dans toute sa diversité (jeu vidéo, animation, etc.). C’est également un passionné des films de Hong-Kong, mais il s’inspire aussi largement de la bande dessinée franco-belge, américaine ainsi que d’autres supports, comme l’animation (studios Disney, Ghibli) ou le jeu vidéo. En parallèle, Fafah a monté en 2007 une association de jeux vidéos, “Doyoe”, connue entre autres pour son jeu de combat sur Naruto.
Editeur: Delcourt - A acheter via ce lien