De la comédie, du suspense , et du thriller au programme de ce mercredi. Mon choix va pour REC qui m'a l'air super prenant.
Cash : Un film de Eric Besnard avec Jean Dujardin, Jean Reno, Alice Tagglioni et Valéria Golino
Un arnaqueur évite les agressifs. Et encore plus les agressifs armés.
Solal a oublié cette règle. Résultat, il est mort, assassiné par un mauvais perdant.
L'affaire aurait dû en rester là. Mais Solal a un frère : Cash. Et Cash a décidé de le venger. A sa manière. En élaborant une arnaque de haut vol.
Toutefois, l'adversaire est sur ses gardes. Et Cash et ses amis se sont peut-être attaqués à plus fort qu'eux… Dans ce genre d'opération, les alliances se font et se défont, les complices sont parfois des traîtres et les traîtres des complices. A la fin, une seule chose compte : qui est le pigeon ?
27 robes : Un film de Anne Flechter avec Katherine Heigl et Edward Burns .
Jane a toujours été plus douée pour prendre soin du bonheur des autres que du sien. Toute sa vie, elle s'est évertuée à rendre ses proches heureux, et les 27 robes de demoiselle d'honneur qui remplissent son armoire sont autant de preuves de son dévouement.
Lors d'une soirée mémorable, Jane parvient à faire la navette entre deux réceptions de mariage, l'une à Manhattan, l'autre à Brooklyn, sous les yeux ébahis de Kevin, un journaliste qui réalise que l'histoire de cette accro aux mariages pourrait lui apporter la gloire qu'il espère tant.
Pour compliquer les choses, la vie parfaitement réglée de Jane est bouleversée par l'arrivée de sa petite soeur, Tess. George, le patron de Jane, tombe très vite sous le charme de Tess, et cette dernière demande tout naturellement à sa soeur d'organiser leur mariage. Mais cette fois, les choses se compliquent, car Jane est elle-même secrètement amoureuse de George…
Jeu de dupes : Réalisé par George Clooney,avec lui-même, Renée Zellweger et John Krasinski.
En 1925, le football professionnel n'est encore qu'un sport de brutes, parrainé par des petits entrepreneurs locaux à l'usage d'un public rural des plus clairsemés. Faute de règles, les matches tournent le plus souvent au pugilat, mais nul ne s'en plaint : les tribunes sont quasi-désertes…
La pilule est d'autant plus amère pour le fringant Dodge Connolly, capitaine des “Bulldogs”, qu'à la même époque, le football universitaire remplit les stades. C'est ainsi que l'étudiant Carter Rutherford est devenu l'idole des foules, qui ne se lassent pas d'admirer sa rapidité, son sens tactique, ses feintes légendaires. Et chacun se souvient que “Carter le Bolide” se fit d'abord connaître en capturant seul des dizaines de soldats allemands durant la Grande Guerre…
Lorsque Dodge et son équipe sont lâchés en pleine saison par leur sponsor, les joueurs se dispersent, les uns reprenant le chemin de la mine, les autres celui des champs. Dodge, qui a consacré toute sa vie au sport, n'arrive plus à trouver le moindre emploi, faute de qualification. A bout de ressources, mais jamais à court d'idées, il gagne Chicago et persuade Carter de quitter temporairement la fac pour donner aux “Bulldogs” l'occasion de se reconstituer et, surtout, de se faire enfin un nom.
Une jeune et charmante journaliste, Lexie Littleton, se joint alors à l'équipe pour en relater les exploits…
Funny games US : Un film réalisé par Michael Haneke avec Michael Pitt et Naomi Watts.
Ann, George et leur fils Georgie sont en route vers leur résidence secondaire pour y
passer l'été. Leurs voisins, Fred et Eva, sont déjà arrivés et ils décident de se retrouver
tous le lendemain matin pour une partie de golf. Tandis que son mari et son fils s'affairent sur leur voilier récemment remis en état, Ann commence à préparer le dîner. Tout à coup, elle se trouve face à face avec un jeune homme extrêmement poli, Peter, un des invités de ses voisins, venu, à la demande d'Eva, lui emprunter quelques oeufs. Ann s'apprête à les lui donner quand soudain, elle hésite. Comment Peter est-il entré dans leur propriété ? Les choses prennent vite un tour étrange et débouchent sur une explosion de violence.
En 1997, Michael Haneke réalisait Funny Games, son quatrième film pour le grand écran après sa trilogie dite de la “glaciation émotionelle” (Le Septième continent, Benny's Video et 71 fragments d'une chronologie du hasard). Présenté en compétition cette année-là lors du Festival de Cannes, le film suscita dégoût et admiration, mais ne pouvait laisser insensible. D'où le scandale et la réputation . Le cinéaste précise le sens de cette démarche peu banale qui consiste à réaliser un remake d'un de ses films : “Je cherche à montrer la violence telle qu'elle est vraiment : une chose difficile à avaler. Je veux montrer la réalité de la violence, la douleur, les blessures infligées par un être humain à un autre.
Les citronniers : Un film de Eran Riklis.
Salma vit dans un petit village palestinien de Cisjordanie situé sur la Ligne verte qui sépare Israël des territoires occupés. Sa plantation de citronniers est considérée comme une menace pour la sécurité de son nouveau voisin, le ministre israélien de la Défense. Il ordonne à Salma de raser les arbres sous prétexte que des terroristes pourraient s'y cacher. Salma est bien décidée à sauver coûte que coûte ses magnifiques citronniers. Quitte à aller devant la Cour Suprême afin d'y affronter les redoutables avocats de l'armée soutenus par le gouvernement.
Mais une veuve palestinienne n'est pas libre de ses actes surtout lorsqu'une simple affaire de voisinage devient un enjeu stratégique majeur. Salma va trouver une alliée inattendue
en la personne de Mira l'épouse du ministre. Entre les deux femmes s'établit une complicité qui va bien au-delà du conflit israélo-palestinien.
Un petit coup de coeur pour un film qui m' l'air superbe ^^
Chapitre 27 : De J.P Schaefer avec Jared Leto et Lindsay Lohan.
Le 8 décembre 1980, Mark Chapman abattait John Lennon de cinq balles, au pied de l'immeuble new-yorkais où le célèbre chanteur vivait avec sa femme, Yoko Ono, et leur fils Sean.
Quelle mystérieuse raison peut pousser un homme apparemment normal à assassiner une légende de la musique, une icône du mouvement pacifiste ?
Lors des jours qui ont précédé le drame, l'état mental de Chapman n'a cessé de se dégrader. Déprimé, instable, il s'est peu à peu laissé submerger par ses fantasmes et le dégoût qu'il éprouvait pour son existence banale.
C'est finalement son obsession pour le roman de J.D. Salinger, “L'attrape-Coeurs”, qui a libéré ses démons, lui a fait perdre pied avec la réalité et l'a conduit à tuer Lennon…
Un Jared Leto méconnaissable dans ce rôle dont le film a reçu une très mauvaise critique donnamge, n'est pas Christian Bâle qui veut
REC : Film de Paco Plaza et Jaume Balaguero . Avec Manuela Velasco .
Angéla est journaliste pour une télévision locale. Accompagnée de son caméraman, elle relate le quotidien de ceux qui travaillent la nuit.
Ce soir, elle est dans une caserne de pompiers. La nuit est calme, aucune urgence. Jusqu'au coup de fil d'une vieille dame qui réclame du secours. Le tandem suit les pompiers et découvre en arrivant sur place des voisins très inquiets. D'horribles cris ont été entendus dans l'appartement de la vieille dame. Angéla perçoit la tension des habitants, son reportage devrait enfin sortir de la routine… Elle n'imagine pas à quel point !
Mon petit chouchou que je vais aller voir au cinéma très bientôt. Du suspense qui fait peur.