Narrant la journée d’une porteuse de journaux, une journaliste de
l’Intransigeant nous révèle en 1925 la rudesse et le pittoresque de ce petit métier, exigeant de celle qui l’exerçait d’arpenter des rues qu’elle connaissait par cœur et de donner inlassablement
de la voix pour attirer l’attention des lecteurs...
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