Dans ce contexte, l'annonce du déploiement de la plate-forme "QlikView Business Discovery" auprès de 4 000 des quelques 9 000 collaborateurs de la TEB, filiale turque de BNP Paribas, est à marquer d'une pierre blanche. Tous les responsables, à tous les échelons de l'organisation, vont pouvoir maintenant profiter de riches tableaux de bord de pilotage et bénéficier d'éléments d'aide à la décision personnalisés, pour, par exemple, analyser les performances individuelles des 500 agences de la banque ou encore surveiller le niveau de risque des encours.
La nouvelle solution se substitue à une plate-forme traditionnelle, construite sur la base de produits classiques, Business Object et Microsoft Excel. Elle a d'abord été déployée en 2012 pour environ 150 décideurs du siège (vraisemblablement la population des utilisateurs de la génération précédente). Ayant immédiatement pu mesurer la valeur apportée par les rapports interactifs et les capacités collaboratives de QlikView, la TEB s'est rapidement convaincue de l'intérêt de généraliser son implémentation dans l'ensemble du groupe, dès 2013.
Pour plus d'efficacité, les directeurs régionaux et autres échelons supérieurs de la hiérarchie de la banque jouissent d'un accès à leurs tableaux de bord Qlikview sur iPad, ce qui leur permet de garder un œil sur l'activité de leur département ou de l'entreprise, en temps réel, en tout lieu et à tout moment, sous une forme particulièrement intuitive (donc réellement exploitable), et d'avoir ainsi en permanence les meilleures informations en main avant de prendre une décision.
Malgré sa valeur, l'informatique décisionnelle est longtemps restée cantonnée à quelques usages et quelques utilisateurs, en raison de sa complexité et de ses coûts de mise en œuvre. Les nouvelles solutions, à l'image de QlikView, sont conçues pour répondre à ces limitations, en mettant l'analyse de données à la portée du plus grand nombre, non seulement par la simplification de leur déploiement mais également par le soin qu'elles prennent à démocratiser la compréhension des résultats qu'elles délivrent, grâce à des représentations graphiques et interactives, toujours intuitives.
L'exemple de la TEB démontre (enfin) que la "Business Intelligence 2.0" est mûre pour prendre (au moins en partie) la place des "mammouths" décisionnels actuels. Il est temps de s'en rendre compte !