Que Nicolas Sarkozy, s’émeuve avec incertitude sur l’avenir de sa famille politique, au point d’esquisser, selon lui, qui serait susceptible d’aggraver la débâcle électorale, entamée depuis les dernières élections présidentielles, en France, au moment où il existe les séquelles, d’une guerre à couteau tiré, que les deux camps, (qui se sont disputés la victoire, de la présidence de l’UMP, lors de l’élection tout récemment de son nouveau président, à savoir les Copéistes et les fillonistes), se sont livrés, prouve à suffisance, que l’ex majorité n’a pas encore finie de vivre ses déboires, lesquels déboires plantent le seuil des divergences, aussi encré que larvé qu’il puisse paraître, le conflit autour du leadership, lequel conflit suscite des interrogations embarrassantes, y compris des questionnements difficiles à pourvoir en réponses, ainsi que la capacité du parti à pouvoir transcender les clivages internes, en vue de s’assurer un certain renouveau nécessaire à sa reconquête de l’électorat.
Par ailleurs, les affirmations découlant de l’analyse déployée par Nicolas Sarkozy, pour exprimer ses inquiétudes, a une incidence probable, sur l’opinion, pour avoir dirigé ce parti, en arrachant des victoires, y compris les défaites, telles que la dernière, lors des présidentielles de 2012 et quoi que pour l’heure, son ombre qui continue certes à planer sur le parti, il lui est requis notamment de par son expérience, de demeurer au service du rassemblement au sein de sa famille politique, si bien que Fillon incarne, à en croire ces propos, une ligne favorable à une renaissance politique et à la reconquête électorale.
En tout état de cause, il en résulte que l’affirmation de la préférence et du choix en politique, reposent sur des critères d’appréciation que chacun est libre, de se fixer. En cela, il apparaît clairement établit que Sarkozy est dans son bon droit.