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Le dimanche 30 juin à partir de 17h, si vous passez par le front de mer de St-Naz. vous pourrez apercevoir au dessus de l'estuaire quelques fleurons d'hier et d'aujourd'hui de l'aviation mondiale.
Tiens, par exemple, on remarquera le retour sur la ville... du B17, l'un des bombardiers américains les plus courus de la dernière guerre, du genre à vous transformer vite fait, bien fait, une cité en compost gravaté.
Ah! Souvenir, souvenir...
Aurons-nous droit aux sirènes de la DCA pour faire plus réaliste? la plaquette de présentation ne le stipule pas.
Dame! 90 ans d'aventure locale aéronautique, y'a de quoi faire la bombe. Non?
ESPACE CULTUREL
veuillez s.v.p. vous essuyer les pieds en rentrant
Pour conclure ce message aéroporté, je vous propose deux réflexions de la plus haute estime, trouvées dans le tome 3 du "ptit livre du ptit COIN" de Marie-Ange Guillaume et Roland Garrigue-Editions Tourbillon-
-"Pour transporter les 500 passagers d'un Boeing 747, il faudrait 120 taxis; ça ferait un gros embouteillage avec 120 taxis en train de hurler au carrefour "Va donc, hé! patate!"
Voilà pourquoi les gens préfèrent prendre l'avion."
-En 1972 une écossaise est venue à l'aéroport accueillir son frère qu'elle n'avait pas vue depuis 25 ans. Elle est tombée dans les bras d'un parfait inconnu et l'a ramené à la maison. Le frère l'attend toujours au bar avec une pancarte "Brother".