"Il en fait trop, quand il rit, quand il sourit. Le fait qu'il soit le soi-disant meilleur Big Man de la ligue et qu'il n'a pas de rival me rappelle vaguement quelque chose. Les autres équipes le respectent mais n'ont pas peur de lui. Je préfère être craint plutôt que respecté."Arrivé en 1996 aux Lakers avec Kobe Bryant, O'Neal a de suite connu la pression de la maison jaune et violette avec les grands noms que sont Kareem Abdul-Jabbar ou encore Wilt Chamberlain. O'Neal a travaillé dur pour devenir l'homme du Three-peat entre 2000 et 2002.
De son côté, Howard a du mal a gérer cette forme de pression avec des statistiques en berne par rapport à son rendement au Magic. O'Neal motive à sa façon celui qui reste encore qu'une part d'ombre du Big Cactus :
"Je pense qu'il est de mon devoir que d'aider ce jeune garçon à devenir l'un des meilleurs pivots de la ligue. J'appuie là où ça fait mal. A mon époque aux Lakers, il y avait beaucoup de pression, mais j'aime la pression. Mon conseil : il doit affronter la pression et tout faire pour la surmonter."En attendant le deuxième épisode de la sage Dwightmare fait son bonhomme de chemin. Ni les Lakers, ni les Hawks et ni les Rockets en savent si l'autre Superman les rejoindra. Il faut tout de même reconnaître que face à la difficulté sportive et face à la médiatisation, D12 reste encore fragile.
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