Pour eux, mais aussi pour nous les Français.
Pour que nous revienne cette envie de descendre battre le pavé, comme les Portugais, les Turcs, les Tunisiens et tant d'autres encore.
Pour que nous arrêtions de laisser les têtes pensantes décider (et mal) à notre place.
Pour que nous arrêtions de travailler uniquement pour survivre.
Pour que nous puissions offrir à nos enfants un monde décent.
Pour que nous réapprenions à nous respecter les uns et les autres.
Deolinda, Que parva que eu sou (sous-titré en français, pour que cela prenne tout sons sens...)