De quel Dieu Roland Garros est-il le lieu de culte pour être mieux protégé par l’Etat que les cathédrales ? Vu le scandale provoqué par l’intrusion sur le court de Roland-Garros d’un individu immédiatement éconduit par le service de sécurité, on est en droit de se le demander…
Car à l’inverse, les horribles femen, coupables d’ «exhibition sexuelle dans un lieu accessible au public»(article 222-32 du Code pénal), «atteinte à l’affectation cultuelle», «atteinte à la liberté d’exercice du culte» (loi de 1905), «injure commise envers une personne ou un groupe de personne à raison de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée» (article 33 alinéa 3 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse), «coups et blessures», «destruction ou profanation d’objet sacré», etc. , n’ont été conduites que «pour la forme» au commissariat, et relâchées expressement après leur honteuse profanation de Notre-Dame de Paris en février.
Les braves et courageux «Hommen» qui ont sauté sur le court de tennis et déployé une banderole sont encore, à l’heure actuelle, dans les geôles de la République socialiste…