Tout d’abord, je tiens à remercier Margxt via Rue du Commerce sans qui ce test n’aurait pas eu lieu. Vu que les 2 premiers Bioshock (de très bons jeux au passage) ne m’ont pas attiré à cause de leur univers, je ne comptais pas prendre celui ci! Erreur!!!
Allez je lance le jeu. Déjà les menus nous mettent dans l’ambiance avec leur effet vintage et la petite musique des années 20.
Les premières minutes du jeu me font penser à Dishonored (juste le fait d’être sur la barque). Puis on arrive dans un phare un peu bizarre où la seule chose que l’on peut faire, c’est s’asseoir sur un siège et être propulsé à Columbia.
Booker arrive dans la ville et reçoit une vision lui disant de ne pas tirer le 77. Un peu plus tard, lors d’une loterie, je vous laisse deviner quel numéro Booker va tirer. Et la c’est le début des ennuis.
Mais au fait, qui est ce Booker Dewitt?
C’est un détective privé et un ancien agent de Pinkerton. Booker se voit accorder un contrat en échange duquel il pourra effacer ses dettes de jeu, consistant à récupérer une jeune fille prisonnière de Columbia.
Comment vous défendre
Bien sur, face à la milice qui veut votre peau, Booker va trouver pour commencer un genre de grappin bien pratique pour dézinguer ceux qui lui barrent la route, mais pas que! Puis on aura le droit à plusieurs armes allant du simple pistolet au lance grenade. Pour le moment, j’ai une préférence pour le fusil à lunette. Et dans la foulé, on va retrouver les toniques (anciennement appelés plasmides) qui vous permettront de vous sortir de la galère, soit en réanimant des morts ou en prenant le contrôle des machines ou encore en envoyant des pluies de corbeaux. Vous pourrez aussi acheter des « effets secondaires » pour chaque tonique.
Et Elizabeth?
Dès le début, la mission de Booker est de trouver Elizabeth. On sait très peu de chose sur elle, mais lors de la première rencontre, on pourra s’apercevoir qu’elle a quelque chose de spécial.
Très vite la situation va dégénérer et Elizabeth va être d’une aide très précieuse, en effet, elle pourra donner de la santé à Booker quand il en aura besoin ou bien ouvrir des failles pour faire apparaître des armes ou provisions ou encore des éléments de décors bien pratique. Mais je suis sûr qu’elle nous cache encore bien des surprises.
L’ambiance
Dans Bioshock Infinite l’ambiance du jeu, aussi bien par le son et l’univers graphique en font un jeu à part. Dès les menu, voire même au lancement du jeu, on est y directement plongé. Les voxophones que l’on doit chercher un peu partout dans le jeu nous expliquent l’histoire du jeu. Du coup les voix trouvées, je trouve qu’elles sont tip top.
Le gameplay
Déjà avec le grappin, on peut s’attendre à de belles batailles aériennes. Et grace à des équipements (comme chapeau, veste, pantalon) on va pouvoir accélérer ou ralentir sur les genres de grand huits. D’autres équipements permettent d’avoir plus d’or, de cristal, de munitions etc… Mais l’aide d’Elizabeth va jouer grandement sur le gameplay.
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Test Bioshock Infinite
Tout d’abord, je tiens à remercier Margxt via Rue du Commerce sans qui ce test n’aurait pas eu lieu. Vu que les 2 premiers Bioshock (de très bons jeux au passage) ne m’ont pas attiré à cause de leur univers, je ne comptais pas prendre celui ci! Erreur!!! Allez je lance le jeu. Déjà les …
Vue d'ensemble des tests
Bande Son
Jouabilité
Ambiance
100
A posséder
Résumé : Bioshock Infinite s'adresse forcemment aux fans de la série, mais aussi aux fans des fps qui cherchent une ambiance différente et un gameplay plutot riche
100