Je n’aime pas les Costes.
C’est dit.
Enfin, les frères je ne les connais pas personnellement, mais je n’aime pas leurs établissements.
Aucun.
« On ne critique pas quand on ne connaît pas » m’a-t-on dit un jour. Je suis bien d’accord.
Le problème est que je connais ces établissements car un membre de ma famille (qui a pourtant fort bon goût) les apprécie. Je les ai donc tous testés, ou presque.
L’accueil le plus déplaisant fut sans conteste à l’Esplanade où j’avais l’impression de déranger les miss au service. Le cabillaud purée est bon, oui, mais ça reste un cabillaud purée…
Au Georges (au dernier étage du Centre Pompidou), j’ai dégusté un wok de légumes/omelette pour 40 € et n’ai eu le droit à une autre fourchette quand la mienne est tombée… Le minet était sans doute occupé à mater les minettes… L’endroit est beau et la vue sur Paris à couper le souffle mais le service gâche le plaisir.
A l’Hôtel Amour, ce fut un échec complet, je relate la triste aventure ici…
A l’Avenue, au Marly, l’accueil et le service furent pitoyables. Ce n’est pas leur politique m’avait-on alors affirmé… Si la politique est de « faire de l’argent » alors là OK, chapeau bas messieurs, vos établissements sont beaux, ils attireront toujours les clients fortunés. Mais je n’appelle pas ça de la restauration.
Et pourtant j’y suis retournée… Par curiosité, peut-être, masochisme, sûrement. Le petit dernier de l’Empire s’appelle le Café Français, à Bastille.
Je vous raconte l’expérience demain. A votre avis, bonne ou mauvaise ?