A Margaux en Gironde :
Saint-Michel décrépit peu à peu depuis qu'elle n'a plus de curé. Le dernier, mort en 1996, n'a pas été remplacé et depuis, celui de Cantenac assure tout juste deux offices par mois. Du coup, mal entretenu, l'emblème du village, dont les fondations auraient été posées au XIVe siècle, paraît vieux et rabougri en comparaison des grands domaines viticoles voisins, tous refaits de neuf. À l'intérieur, de chaque côté de la nef, les statues de Bernadette et de Jeanne d'Arc sont posées à même le sol, comme abandonnées. Isolés derrière une grille rouillée, les fonts baptismaux auraient besoin d'un sérieux coup de nettoyage. Quant au tableau de «Saint Michel terrassant le mal», relégué dans un placard à balai, il continue de se détériorer en attendant une hypothétique restauration.
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Un début de solution a été récemment tenté par une vente aux enchères de vins proposée par par les propiétaires de Margaux. une intititive heureuse mais hélas enbcore bien insuffisante pour restaurer l'église et les oeuvres qu'elle contient...