Pretty Little Liars est une de ces séries américaines que l’on a pu découvrir il y a quelques semaines sur nos écrans grâce à D17 ou June et qui fait déjà des adeptes. Je parle d’ailleurs en connaissance de cause puisque j’ai déjà découvert tous les épisodes de la saison 3 (vive la technologie).
Au début, suivre cette série ne m’a pas paru comme une évidence (comme ça a pu être le cas pour Gossip Girl par exemple) mais après tout, il fallait bien commencer quelque part et se faire une idée.
Quand on n’est à jour sur tout, on commence autre chose…
J’étais donc à jour sur toutes mes séries (nouvelles saisons de Grey’s Anatomy et Drop Dead Diva en cours de tournage, Gossip Girl et Private Practice qui venaient de se finir…) et j’ai eu envie d’en découvrir une autre. Je n’ai jamais aimé les séries fantaisistes du type loup-garou, princesses, extra-terrestre; musicales comme Glee ou encore policières comme Les Experts et NCIS. J’ai toujours préféré me tourner vers des séries de filles comme vous et moi (bon, OK, Gossip Girl c’était un peu hors d’atteinte mais bon…). J’ai essayé d’accrocher à Girls, encensée comme la série miroir de la jeunesse actuelle, mais malheureusement, j’ai abandonné à la fin de la première saison. Je ne saurai pas trop décrire pourquoi cette série m’a déçue ou laissée de marbre mais au final, puisqu’elle m’a dirigée vers Pretty Little Liars, c’était un mal pour un bien.
C’est un peu les Desperate Housewives de la jeunesse américaine
Lorsque la série Pretty Little Liars débute, on se croirait presque à Wisteria Lane. Plusieurs amies vivant dans le même quartier pavillonnaire doivent faire face à la disparition de leur proche Alison, déclarée morte.
Bien entendu, tous les stéréotypes sont là aussi respectés: la fashion-victim Hanna (Gabrielle?) qui était une ancienne grosse, la cérébrale Spencer issue d’une famille aisée (Bree?), la romantique Aria (Susan?) qui tombe amoureuse de son prof et la sportive Emily (Eddie?) qui a un faible pour les filles.
La série se base sur les interactions des unes et des autres avec leur environnement extérieur, leurs bonnes comme leurs moins bonnes rencontres. La mort d’Alison est le fil conducteur de l’histoire. Qui est responsable de son décès? Pourquoi les 4 amies reçoivent-elles des messages anonymes de menace? De qui viennent-ils?
On s’y perd un peu
Si l’histoire est bien fixée au départ et nous donne envie de suivre la série, au bout d’un moment, on s’y perd! Trop d’intrigues et de détails en même temps, c’est dur de ne pas s’emmêler. Alors à moins que j’aie une cervelle de crabe, je dois dire qu’il y a du suspense, ça c’est sûr, de l’adrénaline, c’est certain mais aussi beaucoup de prises de tête!
Le retour des anciens
Si les 4 actrices principales sont particulièrement attachantes dans cette série, j’ai également beaucoup apprécié la présence d’ »anciens » tels que la sorcière de Charmed Holly Marie Combs ou encore Laura Leighton de Melrose Place. Elles ont ici un vrai rôle de maturité et incarnent des mères aimantes et protectrices.
On attend la suite…
Sans rien vous dévoiler de la saison, sachez que malgré que je n’arrive pas à relier certains points d’intrigue entre eux, je suis dans l’attente de la saison 4. Le premier épisode sera d’ailleurs diffusé outre-Atlantique le 11 juin prochain. En attendant de savoir ce qui va se mijoter entre Spencer et Mona et d’espérer trouver les réponses à toutes les questions que l’on se pose sur A, je vous invite à découvrir la dernière couverture du magazine Elle Canada.
Avant de reprendre le rôle d’Emily dans le feuilleton dans quelques jours, Shay Mitchell, ancien mannequin, pose ici au Fairmont Miramar Hotel dans des outfits très jungle-grunge sélectionnés par la styliste Hayley Atkin. Habillée en Zimmerman, Edith A. Miller, Honor et Just Cavalli, l’actrice peut compter sur sa crinière et ses lèvres pulpeuses pour faire chavirer les hommes (on l’a vu dernièrement dans le clip Hold my Hand de Sean Paul)… et les femmes bien sûr!
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble