Seulement 23% des annonceurs américains pensent que les réseaux de pub sont bons pour eux en termes de retour sur investissement. Et la majorité pensent s'en servir de moins en moins.
C’est pourtant des réseaux où les CPM sont très bas (ce sont les invendus le plus souvent), mais les annonceurs savent que le retour est aussi faible, en tout cas plus faible que sur des sites de marques médias.
C’est Jupiter qui le dit, comme quoi il faut rester positif, la qualité fini(ra) par payer ! Le vrai danger c’est quand même qu’entre les réseaux de pub et les grands portails, un marché de puissance s’instaure comme en télé. Il restera peu de place pour les niches…
Autre risque, si la récession américaine accélère le passage des budgets à Internet car ce dernier est mesurable, cela pourrait changer l’équilibre d’après le New York times et favoriser les pubs pas chères sur ces réseaux justement…