Avec le livre de Marie Treps, le recueil de poèmes de Jean-Pierre Verheggen, la BD de Franquin et le spectacle de l’Association K, vous avez, ces dernières semaines, été habitués à rencontrer des calembours sur ce blog.
Marie Treps disait que ces jeux de mots s’appuyaient sur des phrases ou des formules dont on avait oublié le sens originel. Essayons donc avec cette expression : « Il ne faut pas prendre les vessies pour des lanternes ». J’avais déjà rencontré le détournement suivant : « Il ne faut pas prendre l’Helvétie pour des gens ternes ». Sans doute les Suisses sont-ils des gens drôles, amusants ; surtout leurs banquiers… Et, justement, c’est à propos de banquiers, et d’un système qui se mord le crédit, que j’ai relevé cette nouvelle formule, dans le spectacle de l'association K cité hier dans ce blog : « Il ne faut pas prendre les vestiges pour du long terme ».
Je vous propose de continuer. Cherchez d’autres calembours à partir de cette expression. Il s’agit de remplacer les mots « vessies » et « lanternes » par d’autres mots dont la sonorité est proche et que l’expression trouvée rencontre la connivence du lecteur, ou de la lectrice.
Je me lance :
« Il ne faut pas prendre les gentilles pour des panthères »
« Il ne faut pas prendre le whisky pour du sauternes »
C’est à vous main tenant. Composez vos expressions et postez les dans les commentaires ci-dessous. Merci.
Rappel:
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