Aujourd'hui, jeudi 6 mai 2013, la manifestation, en plein air, ferme ses portes à 22h30 et ce sera la même chose jusqu'à samedi. Dimanche, le marché fermera à 20h. Ouverture des stands tout le week-end à 11h30.
Sur le stand de Tarabuste, au n° 507, vous pourrez vous procurer les deux parutions que j'ai réalisées chez cet éditeur du Berry : le n° 20 de la revue Triages où j'ai publié un cahier de 15 pages, Le Lutin de Montevideo à Buenos Aires, en hommage à Horacio Ferrer, el Duende, à l'occasion de ses 75 ans (dimanche, il en fêté 80, voilà donc cinq ans que j'ai sorti mes toutes premières traductions de ce grand poète argentino-uruguayen) et le numéro spécial 2010 de la même revue, intégralement consacré à une anthologie de chansons à texte des cinquante dernières années, en version bilingue, Deux cents ans après, le Bicentenaire de l'Argentine à travers le patrimoine littéraire du tango, que j'ai constitué en choisissant dix auteurs dont les textes n'ont pratiquement jamais traversé l'Atlantique, parmi lesquels encore Horacio Ferrer, mais aussi Luis Alposta, Litto Nebbia, et le regretté Alorsa...
Je ne serai pas présente personnellement (les arbres de la place ne m'aiment pas et à cette saison me rendent malade !) mais je ferai un saut rapide pendant l'un ou l'autre des ces trois journées consacrées à la poésie en plein Paris.
Cette année, l'Irlande est l'invité d'honneur du salon, avec dix poètes de la Verte Erin sur la manifestation parisienne et d'autres encore dans les manifestations organisée en couronne. Or il se trouve qu'il y a un poème en lien avec l'Irlande dans Deux cents ans après, à la page 33, un hommage de Luis Alposta à un personnage anticonformiste, haut en couleurs, Brendan Behan, El Irlandés, écrit en 2006 (et mis en musique par Juan Tata Cedrón).
Pour aller plus loin : visitez la page de cette édition sur le site La poésie et vous