Cette semaine, tu écouteras donc
Générique B d’Ulysse 31, Ulysse revient : Parce que ce dessin animé a donné envie à certains potes de devenir historien, parce qu’il était p*te de génial et que c’est avec ce générique que, personnellement, je m’en souviens, plus qu’avec le générique principal.
The Beatles, Norwegian Wood : Parce que je considère que c’est à partir d’Abbey Road que les Fab Four deviennent intéressants, bien que camés. Coïncidence ? I don’t think so… Mais cela se ressent notamment sur ce titre qui sent bon la fumette dans la chambre d’étudiant et le patchouli.
Carlos Nunez, Xotes Universitarios : Parce que c’est pas pour dire, mais la Fête de la Musique, c’est dans deux semaines. Et qui dit Fête de la Musique veut dire presta de mon orchestre. Et vu comment on est grave au taquet, ça risque de bien taper toute la nuit. En attendant, je patiente avec un titre du projet du joueur de gaïta qui est parti à la recherche de ses ancêtres colons au Brésil.
Laurent Voulzy, Les nuits sans Kim Wilde : Parce que Laurent, d’une part. Parce qu’avoir l’air plus évanescent qu’un prince charmant de Disney ne l’empêche pas d’avoir des fantasmes chelous et de les vivre sainement.
Vietzouker, Twa kilti : Parce que lorsque j’ai découvert cette chanson postée insidieusement par Monsieur Lâm, je me suis vraiment dit que pour que les Viêtnamiens fassent du zouk love, fallait vraiment que le monde marche à l’envers. Et puis, au final, ça reste du zouk love, mais pas si ridicule, comparée à l’offre.
Primal Scream, It’s alright, It’s OK : Parce que c’est une chanson qui te donne envie de profiter du soleil pour te balader en décapotable sur une petite route de campagne avant de t’enfoncer dans un champ de tournesols pour gambader…
Rob Zombie, Dragula : Parce que quand on voit ce qui se passe en ce moment près de la gare St-Lazare, il y a de quoi avoir la rage. Alors au lieu de taper sur le premier FAF venu – ce ne serait que trop d’honneur de daigner répondre à sa haine par la violence –, déchargeons toute notre colère sur ce morceau cathartique.
Motörhead, Ace of Spades : Parce que cf. Rob Zombie. Mais ça marche mieux avec du son vintage.
Stevie Wonder, Master Blaster : Parce que je commence à la gérer au ukulélé. Et simplement parce que c’est de cette manière que Stevie passe le cap des années 1980 en ne se ridiculisant pas. Et enfin parce que cette chanson, elle *roxe* sa mère.
Bastille, Pompeii : Parce que c’est la chanson que j’écoute en boucle en ce moment. Parce que la musique d’inspiration new-wave sautillante avec des paroles un peu dépressives, on dirait du Depeche Mode au meilleur de leur art. Surtout que la suite de l’album a l’air de bien s’enchaîner aussi. A suivre…
Et à la semaine prochaine…