C’est peut-être cela d’ailleurs qui marque le plus avec ce bateau mexicain : les marins dans la mâture à l’accostage et lors de l’appareillage. De loin, on dirait des mannequins, des poupées, des playmobils. Et pourtant ce sont bien des vrais marins, croisés la veille dans les rues de Bordeaux, mais le bateau est si grand sur ce fleuve devenu estuaire, que tout homme semble minuscule.
Cette fois-ci, le bateau a passé plus d’une semaine dans le port de la Lune. Il est reparti dimanche dernier en début d’après-midi :