Ces tendances dont on ne saurait se détacher…(nos patterns de la mode, ahhhh!!)

Il y a de ces tendances avec lesquelles ont tombe en amour… pas n’importe lequel, le vrai. Je ne parle pas d’un coup de foudre pour un morceau (et surtout pas du trop plein de noir dans votre garde-robe pour certaines). Non, je parle plutôt d’une vraie relation avec une tendance. Ce peut être un motif, une coupe, une forme, une matière et peut-être même une couleur.

Chaque fois qu’on entre dans un magasin, on spot lesdits morceaux. Et chaque fois, on doit se restreindre pour ne pas en abuser et en saturer notre garde-robe.

Comme pour les hommes, je pourrais dire que j’ai aimé plusieurs fois, mais l’amour inconditionnel, lui, je ne l’ai ressenti que 2 fois… pour les tendances je parle ;)

Comme trouver sa douce moitié

Je devais avoir 16 ans quand j’ai acheté mon premier morceau léopard. J’en étais si fière <3 Ce fut le début d’une longue liste d’achat et j’en portai des années durant (même quand c’était out il me semble) Shame on me! Ça faisait tellement partie de moi que mon entourage m’associait à ce motif. Caro = léopard.

Mais vous savez quoi, chaque fois que je vois ce motif dans une boutique encore aujourd’hui, c’est ENCORE une véritable attraction pour mon œil. (Pas les cheaps là, non non -_-) Mais ça se guérit, j’ai appris à résister à acheter avec le temps.

Une de perdue, 10 de retrouvées

Jusqu’à ce que je découvre que l’histoire se répétait. Comment? Ben que je portais pratiquement toujours un bijou avec une croix, que mon fond d’écran c’est des croix depuis des mois et que je trouve que les chapelets, OH mon dieu, mais c’est donc ben fashion!! Ah, et que c’est déjà prévu que je fasse un faux pas parce que peu importe qui qui va me dire que les croix c’est pu trendy, ben je vais y dire « Je m’en fou, je suis en connaissance de mes fautes et je les assume! »

Ce sont ces petits détails, ces petits attachements qui font que notre style est unique au fond. Des petits patterns qui se répètent de look en look devenant notre marque de commerce, comme Miranda Priestly et son carré Hermès dans Le diable s’habille en Prada…

Avez-vous déjà ressenti éprouvé ce genre de truc ou suis-je la seule à rester « accrochée »?