L'informatique - Chanson Plus Bifluorée
envoyé par chansonplusbifluoree.
Amusante chanson qui fait le parcours lexique de l'informatique, à telle vitesse que voilà le texte.
L’informatique ( Chanson Plus Bifluorée )
Depuis que je fais de l’informatique
je n’ai plus que des embêtements
Ah, mon Dieu ! Quelle gymnastique !
c’est pas tous les jours très marrant.
Mais attendez que je vous explique
tout ce qui cause mon tourment
J’ai le Mac qui patraque
Le PC déglingué
Le Pentium sans calcium
J’ai l’écran qui est tout blanc
Le disque dur pas bien dur
Le clavier tout bloqué,
Le modem qui a la flemme
L’imprimante bien trop lente
La cartouche qui se touche
et les buses qui abusent
les polices qui pâlissent
L’DVD fatigué
Le scanner qu’a les nerfs
Le menu paume dans les pommes
Le Cd Rom c’est tout comme..
La mémoire sans espoir
les options en option
La souris rabougrie
Le mulot qu’est trop gros
Ah, mon Dieu, que c’est palpitant
toute cette informatique !
Ah, mon Dieu, que c’est palpitant
mais qu’est-ce qu’on perd comme temps !...
Comme j’ai un bug dans le système
je téléphone au réparateur
Il me demande " Quel est le problème ?
Je vous écoute : j’ai un quart d’heure"
Je lui dis : Soyez pas si pressé,
et laissez-moi vous expliquer:
J’ai le Mac qui patraque
Le PC déglingué
et puis j’ai ajouté:
voyez-vous, ce n’est pas tout
J’ai l’e-mail qui s’emmêle,
les circuits qui sont cuits,
le raccourci riquiqui,
J’ai l’index qui est preplexe,
les pixels en rondelle,
l’USB constipé
J’ai les bits qui s’agitent
La sauvegarde pas gaillarde,
la disquette qui caquette
l’utilitaire qui a des vers
les icônes qui déconnent
Le processeur qui est farceur
le graveur qui est en pleurs
le lecteur qui bat le beurre
Le moniteur et ta soeur !
Ah, mon Dieu, que c’est palpitant
toute cette informatique !
Ah, mon Dieu, que c’est palpitant
mais qu’est-ce qu’on perd comme temps !...
J’ai invité la belle Suzanne
l’autre jour au cybercafé
Elle m’a dit: " Je préfère ta bécane,
allons chez toi, fais-moi surfer "
Hélàs ! Ma machine est en panne.
Que je lui réponds, j’suis désolé:
J’ai le Mac qui patraque
Le PC déglingué
Le Pentium sans calcium
J’ai l’écran qui est tout blanc
Le disque dur pas bien dur
Le clavier tout bloqué,
Le modem qui a la flemme
L’imprimante bien trop lente
La cartouche qui se touche
et les buses qui abusent
les polices qui pâlissent
L’DVD fatigué
Le scanner qu’a les nerfs
Le menu paume dans les pommes
Le Cd Rom c’est tout comme..
La mémoire sans espoir
les options en option
La souris rabougrie
Le mulot qu’est trop gros
Et puis, j’ai ajouté,
Voyez-vous, ce n’est pas tout
J’ai l’e-mail qui s’emmêle,
les circuits qui sont cuits,
le raccourci riquiqui,
J’ai l’index qui est preplexe,
les pixels en rondelle,
l’USB constipé
J’ai les bits qui s’agitent
La sauvegarde pas gaillarde,
la disquette qui caquette
l’utilitaire qui a des vers
les icônes qui déconnent
Le processeur qui est farceur
le graveur qui est en pleurs
le lecteur qui bat le beurre
Le moniteur et ta soeur !
En plus de ça, je vous le cache pas
j’ai aussi, quel souci !
Les octets pas très frais,
les virus pleins de tonus
les majuscules qui se bouscoulent
les minuscules qui copulent
le Windows qui est morose
Les programmes, c’est un drame
et la puce en Lotus
Le cordon en tire-bouchon
Le MSDOS qui a des bosses
Les menus mal foutus
Le logi-ciel, mon mari !
Et l’audio qui est idiot
la carte son qui est marron
La couleur : quelle horreur !
Les fenêtres qui se pénètrent
les symbolent qui s’affolent
Le système bien trop blême
le reseau qui prend l’eau
Et du coup, voyez-vous,
il vaut mieux que vous partiez
Car, je le sens, c’est navrant,
je peux plus rien maîtriser !
Ah, mon Dieu, que c’est affolant
toute cette informatique !
Ah, mon Dieu, que c’est affolant
mais qu’est-ce qu’on ferait sans ?
L'original de cette chanson est "Je ne suis pas bien portant", ancienne chanson dont tout le monde se souvient de la version que le protagoniste (Jean-Paul Bacri ) chantait
à son médécin en lui racontant tous ses symptômes dans le film d' Alain Resnais ON CONNAîT LA CHANSON ( 7 prix Cesar en 1998) .
L'original es un militaire qui raconte ses problèmes de santé aux femmes qui lui courent aprés, une ancienne chanson de Gaston Ouvrard.