Tout juste fiancé, Thomas rencontre son futur beau-père Gilbert, marié depuis 30 ans à Suzanne. Gilbert, désabusé, est convaincu d’être passé à côté de sa vie à cause de son couple. Il dissuade Thomas d’épouser sa fille Lola et le pousse à tout plaquer à ses côtés. Ils se lancent alors dans une nouvelle vie de gamins pleine de péripéties, persuadés que la liberté est ailleurs.
Mais à quel prix retrouve t-on ses rêves d’ado ?…
- La crise de la cinquantaine sur grand écran d’Alain Chabat est un régal. Il a toujours le truc pour faire rire et en même temps attendrir le public. Difficile de lui résister et de lui en vouloir malgré toutes les conneries qu’il peut enchaîner. On aimerait bien avoir un père/oncle dans ce genre.
- Sandrine Kiberlain qui ne termine jamais ses phrases est juste un délice à écouter.
- Même si Les Gamins ont parfois des gags un peu poussifs et des situations rocambolesques, ce film nous donne la banane du début à la fin.
- Anthony Marciano ose et ne se refuse rien. Surtout en faisant du jeune dealer Abdelkader, un blondinet issu du 16ème qui parle (enfin essaye) avec l’accent de la banlieue… Le fou rire est obligatoire.
- Et puis cette scène avec Patrick Bruel.… (chuuut je vous laisse la surprise)