À quoi bon écrire, si l’on ne peut être lu, à quoi bon écrire si hellocoton ne peut nous publier. À quoi bon écrire, mettre nos tripes à nu, sacrifier nos soirées, nos précieuses heures de sommeil pour ne récolter pour toute récompense que frustration et désillusion.
Hellocoton me l’a dit, notre amitié facebookienne n’est que virtuelle et publicitaire, si tu veux de mes nouvelles, vas donc siffler chez Twitter … Et de reprendre le cours de sa vie, ni vu ni connu, pas vu pas pris … Et à nous les champs de coton, à nous les chaînes, pauvres esclaves de nos prétentions …
Et hellocoton bidouille, hellocon s’en fiche, ou nous le laisse croire. Car hellocoton, y a pas mieux, hellocoton, est unique, hellocoton est irremplaçable. Enfin ça pour l’instant …
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