Le gouvernement avait deux mauvaises solutions. Soit taper
sur les classes supposées aisées en leur supprimant
une partie des allocations familiales. Soit taper sur les classes supposées
aisées en leur
augmentant leurs impôts via le rabotage du quotient familial.
Pour sauver notre système de solidarité nationale et notre
famille, une seule solution donc. Taper sur les classes supposées aisées. Cela
m’est consternant.
Jérôme
Cahuzac avait dit le 6 Janvier, en sa qualité de ministre du budget et
parlant au nom du gouvernement, que «pas
d'augmentation d'impôts prévue ou prévisible, envisagée ou envisageable». La stabilité fiscale qu’il appelait de ses vœux
n’aura pas tenu 5 mois.
Après, c'est vrai que c'est Jérôme Cahuzac qui parlait. Au nom du gouvernement. Beaucoup de bémol...
Les familles solvables en seront pour leurs frais. En
attendant le prochain coup fiscal. Dans pas longtemps, c’est la TVA
qui augmente. Après, il reste encore 4 ans…
J’ai le droit d’être opposé à ces mesures qui tapent
toujours sur les mêmes. Cela ne fait pas de moi un crétin ou un salopard d’égoïste.
Je ne pense pas ces politiques qui vont conduire à une paupérisation de nos
classes moyennes rehausseront le niveau général.
Au contraire : les signaux qui sont lancés sont
terrifiants pour ceux qui se lèvent pour aller bosser le matin. Et ils ne
permettront pas à ceux qui n’ont pas de boulot d’en trouver, à ceux qui sont le
plus dans la difficulté d’en sortir…
Pour conclure, j’ai bien aimé la réaction de l’Hérétique :
"Ce gouvernement m'exaspère. Chaque fois qu'il doit équilibrer les
comptes, il choisir toujours d'accroître les impôts plutôt que de réduire ses
dépenses.".
Il a raison...