Brassens l'a si bien dit que je lui laisse la parole : http://www.youtube.com/watch?v=ZDQMkCdttuU
- Le plancher des vaches ?
- Là, au moins, je n’aurai pas le mal de mer : Sur le plancher des vaches
- Ouf ! Sur le plancher des vaches, la terre ferme, je n’ai plus le cœur au bord des lèvres.
- Même s’il pleut comme vache qui pisse (quelle averse !) je suis plus à mon aise.
- Pas de coup de pied en vache, de rosserie sournoise, je te prie.
- Ni de coup en vache, ce qui revient pratiquement à la même chose.
- Ne me prends pas non plus pour une vache à lait : arrête de vouloir m’exploiter.
- Je suis d’ailleurs en période de vache maigre, je suis un peu fauchée ces temps-ci. C’est la crise pour tout le monde. Mais, bah ! Il faut se dire qu’une période plus favorable, de vaches grasses, reviendra.
- La vache ! D’accord, tu es étonnée, mais essaie de t’exprimer autrement.
- Quoi ? Je suis vache ? De mieux en mieux. Ce que je te dis ne te plaît pas ? Tu trouves que j’exagère ? Traite-moi de méchante, de rosse, à la rigueur, si tu veux...
- Quoi ? Et maintenant, c’est “mort aux vaches” ? Malheureuse ! Si un policier traîne par là, tu vas avoir des ennuis...
- Manger de la vache enragée n’a de rapport, ni avec la rage, ni avec celui qui a découvert le vaccin pour prévenir cette maladie. Et je ne pense pas, vois-tu que cette expression puisse s’appliquer à toi : les privations, je fais en sorte que tu ne les connaisses pas. En évitant de trop te gâter, bien sûr.
- Par moments, tu parles français comme une vache espagnole, un vrai charabia ! J’ai bien du mal à te comprendre.
- Bon pour la ligne, pas pour la santé : Période de vaches maigres
- Période de restrictions, de vache maigre... Il va falloir se serrer la ceinture.
- Pas de vache à lait, de bonne poire à exploiter en vue.
- Il va falloir manger de la vache enragée, se restreindre.
- La famille pourrait nous venir en aide. mais ce sont tous des peaux de vache, des salauds.
- Dès qu'ils peuvent nous décocher un coup de pied en vache, nous faire une rosserie, ils le font.
- Les copains, aussi passifs qu'une vache qui regarde passer un train.
- Il y en a parmi eux qui parlent français comme une vache espagnole. C'est te dire la pureté de leur langage !
- Il y en a de tous les pays, une vache n'y retrouverait pas son veau, le vrai bazar !
- j'en ai en tendu qui criaient "Mort aux vaches" ! A bas la maréchaussée.
- Comme Perrette : Adieu veau, vache...
- Il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Sinon, adieu les grandes espérances, "Adieu veau, vache, cochon, couvée". La même désillusion que Perrette : http://www.jdlf.com/lesfables/livrevii/lalaitiereetlepotaulait
- Elle adorait le veau d'or ! Elle aimait bien l'argent et avait déjà calculé ce qu'elle allait tirer de la vente de son lait. Mais...
- Peut-être a-t-elle pleuré comme un veau, avec force sanglots et autres bruits. Et, elle n'a certainement pas tué le veau gras : fait une fête pour célébrer son succès puisqu'elle a tout perdu. "C'est un veau" : cette personne est molle, sans réaction. Elle semble complètement abrutie.
- Il m'arrive de qualifier ainsi ma voiture. Lorsque je la trouve lente, peu nerveuse, que je n'arrive pas à doubler. Allez, avance !