LES NUAGES
les nuages grisés asssombrissent les jours,
inlassablesqui passent:roulements de tambour!
de fins picotementd meurtrisssent l'ossature
du criant violet, la petite voiture.
j'apprécie ces silences, si loin de malestrom
qui s'en va et revient;si j'étais petit d'homme;
alors je pleurerai;larmes chaudes et salées,
comme un enfant perduà la fin de l'été!
si la vie est un fleuve peuplé de souvenirs;
mensonge d'écrin rouge écru de ses saveurs
triste et douce vie,écrasante torpeur
à la tombée du jour,forcément se recueille!