via Totally Pink Kawaii sur We Heart It
Que Zola et les diététiciens me pardonnent. Et vous aussi pour ce titre facile.
Enfin, facile mais précis. Vous voyez tout de suite où je veux en venir là.
Six jours après avoir commencé à tenir mon carnet de bord, ce que je soupçonnais c’est pleinement vérifié.
Trop et trop souvent d’aliments hautement sucrés, de ceux qu’on appelle à indice glycémique élevé (faisant rapidement le taux de glucose dans le sang). En gros, ils n’apportent rien de bon pour l’organisme et peuvent même paradoxalement entraîner des hypoglycémies et des fringales (je vous prévois un billet sur ce sujet, mais je dois d’abord me documenter avec plus de précision et vous bidouiller quelques petits schémas explicatifs).
Sans m’en rendre compte j’ai développé une vilaine dépendance au sucre.
Je ne prévois aucun régime restrictif, mais plutôt de réorganiser ma façon de faire mes courses.
Avant tout pour retrouver un peu de tonus et d’énergie. À la limite les kilos en plus je peux très bien m’en accommoder et vivre avec, par contre la fatigue chronique qui m’empêche de faire tout ce dont j’ai envie, merci mais très peu pour moi !
Donc plus de bonbons dans le caddie, plus de macaron ni de muffin aux fruits rouges… Rhaaaa qu’est-ce que ça me rend triste !!
Pas très drôle tout de même de manger équilibré…
Et plus (+) de sucres lents, trouver des légumes que je puisse arriver à manger (curieusement quand j’achète des légumes frais, ils finissent souvent tous flétris voire moisis à la poubelle) et quelques fruits (au moins pour le petit déj et si je n’arrive pas à résister à une envie de grignoter).
Ouf : un peu de positif dans ce bilan, rien à changer pour les laitages et les sources de protéines. Idem pour les matières grasses, pas d’excès notable.