Le chantier du 24 rue André Laurent agite la vie locale et suscite des inquiétudes sinon des remarques teintées de forts reproches sur divers supports électroniques. Il est vrai qu'un accident survenu le 6 mai soulevait quelques interrogations. Quid de la réaction des services municipaux? Ils se sont rendus sur place et ont appelé le Commissariat de Police, les Sapeurs-pompiers ainsi que les entreprises EDF et GDF Suez. L'origine de cet accident a été provoqué par une intervention malencontreuse d'ERDF qui a déclenché un incendie en raison d'un court-circuit sur un ancien coffret d'alimentation électrique sous tension et dont l'alimentation aurait dû être coupée. Lors de l'intervention d'ERDF destinée à mettre en sécurité le site, une canalisation de gaz s'est trouvée endomagée et a provoqué une explosion qui n'a entraîné aucune blessure sur le chantier.
Naturelement un périmètre de sécurité a été établi sur le site et la société ERDF a confirmé par courriel son entière responsabilité et a souligné la non dangerosité du chantier. Dans le prolongement la Mairie, vigilente, a demandé aux services de l'Etat et à l'Inspection du Travail de procéder à un contrôle. Contrôle effectivemen effectué lundi 13 mai et dont les résultats sont en attente de divulgation. S'il concluait à non respect des règles de sécurité le maire s'engage à entraîner une fermeture du chantier dans le cadre des pouvoirs de police que lui atribue la loi.
Il a été question sur ces médias électroniques ou sur une pétition de règles d'urbanisme. Effectivement le chantier a été autorisé par un ermis de construire PC- 094-033-13-N1068 délivré le 21 décembre 2012 et qui a fait l'ojet d'un affichage public. Permis qui n'a fait l'objet d'aucun recours et qui est donc en tute légalité devenu défintif le 21 février 2013. Une marche à suivre dans les clous de la légalité et conforme au Plan Local d'Urbanisme qui est je le rappelle confore au réglement national édité par le code de l'Urbanisme... Le voisinage bien justement soulève quelques problèmes sur la division des parcelles à construire sur cette opération privée. Seules des modifications du PLU pourront les résoudre. Mais pour l'heure cette opération privée s'opère dans le cadre de la légalité et le chantier y afférant se doit quand à lui de respecter les normes en usage de sécurité. Il n'y a pas de légereté ou d'inattention calculée comme le laisse entrevoir un média électronique local en mal assurément de publicité pour faire valoir une ambition.