Je voulais juste ajouter aussi que je continue de lire William Trevor.
J’ai donc terminé le troisième l’autre soir, Coups du sort. Encore une histoire de solitude, de souffrance, d’amour contrarié. Je commence à reconnaître les motifs de l’auteur. Répétitions ? Non. Motifs récurrents, comme chez beaucoup d’artistes et d’écrivains me semble-t-il. Quelque chose se dessine. Il passe et repasse le trait, l’image se détache. Celle d’une Iralnde belle mais malmenée. Celle de personnalités fortes, capables d’aimer, mais dont le bonheur est brisé par la violence des hommes au sujet de Dieu. Et pourtant, ce fameux Dieu est toujours approché par les héros/héroïnes de Trevor, à la fin du long chemin, au bout de la vaste vallée de larmes. Paradoxal ?
L’écriture est toujours aussi juste et belle. (Du coup, j’ai commencé Ma maison en Ombrie.)
Le tableau ci-dessus est de Louise O’Hara, superbe, artiste britannique dont vous pouvez voir le travail ici.
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